Lors d’une conférence au Medef, le 10 septembre, sur les villes en Afrique, Rémi Maréchaux (notre photo), le directeur Afrique et océan indien du Quai d’Orsay, mettait en avant « la technicité » des entreprises françaises. Certes, les exemples de réussite ne manquent pas : le train de banlieue de Dakar, le train urbain d’Abidjan ou, plus ancien, l’express régional de la province du Gauteng en Afrique du Sud, appelé Gautrein.
Pour autant, au moment où l’Afrique commence à attirer la planète entière, on peut douter que la technicité des entreprises françaises suffira dans ce continent en mouvement. L’approche française a été longtemps top-down ou disons-le autrement : on traite avec la puissance publique africaine et sur le terrain on a tendance à plaquer son système, son offre. Mais aujourd’hui, le secteur privé africain bouge, le consommateur, le salarié, le citoyen s’expriment plus largement…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 295
diffusée le 13 septembre 2018 auprès de ses abonnés
Pour lire la suite, cliquez ICI
Pour consulter gratuitement le sommaire de la dernière Lettre, cliquez ICI