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Canada

Économie

Informations pays

Population (millions, 2020)1 : 38
Capitale : Ottawa
Devise : Dollar canadien (CAD)
Décalage horaire avec la France : – 6 h avec Montréal été comme hiver, – 9 h avec Vancouver. Le Canada compte six fuseaux horaires.
Climat : Continental, océanique et polaire
À Toronto
• Température moyenne la plus basse en janvier : – 20°C.
• Température moyenne la plus élevée en juillet : 35°C.
À Montréal
• Température moyenne la plus basse en janvier : – 15°C.
• Température moyenne la plus élevée en juillet : 20°C.

Indicateurs économiques :
Taux de croissance du PIB réel1 : 2021 : 5 % (estim.) ; 2020 : -5,4 %
Revenu national/hab. en parité de pouvoir d’achat (USD, 2020)2 : 47 500

Source : (1) FMI (2) Banque mondiale.

Conjoncture

En amont de la pandémie, l’économie canadienne était dans une situation assez confortable. A la suite d’une année 2017 marquée par une croissance du PIB de 3,2 % (croissance exceptionnelle expliquée par la conjonction de très nombreux éléments favorables, en particulier la hausse des prix du pétrole, le dynamisme immobilier dans un contexte de politique monétaire accommodante, la vigueur de la consommation des ménages sous l’effet notamment de la réforme des allocations familiales), la croissance canadienne s’est tassée en 2018 (+2,0 %) puis en 2019 (+1,7 %) sous l’effet de plusieurs facteurs distincts : les tensions géopolitiques et commerciales, le ralentissement de la croissance mondiale et plus particulièrement de la croissance américaine, les difficultés du secteur énergétique, confronté aux problèmes de la baisse du prix du pétrole et des contraintes d’acheminement. Malgré ce ralentissement de l’activité pré-pandémie, l’économie canadienne était demeurée résiliente avec en particulier un marché du travail extrêmement vigoureux et un taux de chômage proche de son creux historique à la fin de l’année 2019 (5,7 %).
L’éclosion de l’épidémie au printemps 2020 a entraîné la mise en place de mesures restrictives et un brusque ralentissement de l’activité économique. Le chômage a rapidement augmenté, atteignant 13,4% au mois de mai 2020 avant de progressivement se rétablir (7% début 2021). On estime qu’entre février et avril 2020, près de 2 millions d’emplois à temps plein et 1 million d’emplois à temps partiel ont été perdus. Enfin l’économie canadienne a été particulièrement affectée par l’effondrement des cours des matières premières au printemps 2020.
En réponse à cette crise, le gouvernement fédéral a mis en place un plan d’intervention avec des mesures transverses (pour l’ensemble des secteurs) de grande ampleur auxquelles s’ajoutent de nombreuses mesures sectorielles et des mesures provinciales de bien moindre envergure. Le plan fédéral s’articule autour de trois principaux piliers :
– des mesures de soutien direct pour les ménages et entreprises via notamment deux programmes phares : la Prestation canadienne d’urgence (PCU), remplacée fin septembre par d’autres mesures, et la Subvention Salariale d’Urgence du Canada (SSUC).
– des mesures de politique monétaire : dès le début de la crise, la Banque du Canada a procédé à trois baisses successives du taux directeur, désormais maintenu à 25 points de base contre 175 points en février 2020.
– des mesures pour faciliter le financement de l’économie : la capacité des banques à prêter de l’argent a été rehaussée par la réduction de l’exigence de fonds propres et plusieurs programmes de prêts et garanties de prêts ont été lancés afin de couvrir les besoins de financement des petites entreprises, entreprises exportatrices mais aussi des grandes entreprises.
Le déficit canadien pour le commerce de marchandises s’est établi à 19,5 Md CAD (13,2 Md EUR) pour l’année 2020, soit plus du double observé pour l’année 2019 (9 Md CAD/6,1 Md EUR). Cette augmentation substantielle du déficit de la balance des biens s’inscrit dans un contexte général de contraction des échanges commerciaux canadiens, avec une baisse des exportations de biens de 11,8% (522,4 Md CAD/351,6 Md EUR) et des importations de biens de 10% (541,8 Md CAD/364,7 Md EUR en 2020) sur un an (source : StatCan, Tableau 12-10-0130-01). Si le recul du commerce canadien, dans la lignée du ralentissement de l’économie mondial, est significatif, il est moins important que lors de la précédente crise financière mondiale (chute respective des exportations et des importations de 25% et 15,8% entre 2008 et 2009), avec notamment un rebond rapide des échanges au cours de la seconde moitié de l’année 2020.

Selon les douanes françaises, les échanges bilatéraux de biens entre la France et le Canada ont atteint un montant de 6,27 Md€ en 2018 et ont enregistré une croissance nulle par rapport à l’année passée.

Cette stagnation reflète une augmentation des exportations françaises à destination du Canada à leur plus haut niveau historique (3,36 Md€ en 2018 contre 3,15 Md€ en 2017; + 6,6 %) et une baisse significative et simultanée des importations en provenance du Canada (2,91 Md€ en 2018 contre 3,11 Md€ en 2017; – 6,6 %).

Le Canada représente 0,7% des exportations françaises totales et accède au rang de 28e pays client de la France. A l’inverse, le Canada est le 35e pays fournisseur de la France (33e place en 2017) et représente 0,5% des importations françaises totales.

Le solde de la balance commerciale des biens France-Canada s’améliore fortement après deux années de baisse et devient nettement excédentaire (+455,1 M€ contre +39,7 M€ en 2017). La structure sectorielle de la balance commerciale en 2018 résulte du dynamisme à l’exportation des secteurs des produits agroalimentaires (excédent de +579,3 M€), des équipements mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique (excédent de +302,9 M€), des produits chimiques, parfums et cosmétiques (excédent de +247,4 M€) ainsi que des textiles, habillement et cuir (excédent de +160,9 M€).

Source : DG Trésor https://www.tresor.economie.gouv.fr

Commerce extérieur

Échanges de marchandises (2020, Md USD, évolution sur 2019)3 :
Export : 390,589 (-13 %)
Import : 414,165 (-11 %)

Cinq premiers fournisseurs (avec part de marché)3 :
1 – États-Unis 48,7 %
2 – Chine 14,1 %
3 – Union européenne 11,1 %
4 – Mexique 5,5 %
5 – Japon 2,5 % 

Exportations françaises 20204 : 3,54 Md USD, -15,42 %

Sources : 3. OMC. 4. IHS Markit. 

Risques et paiements

La Rédaction du Moci a réuni un ensemble de notes, scores et paramètres d’évaluation couvrant d’une part le risque macro-économiques associés à un pays, d’autre part la solvabilité générale des entreprises de chaque pays.

A ces indicateurs de solvabilité sont associés les environnements et procédures associées aux démarches de recouvrement pouvant être réalisées dans chaque pays.

Enfin, un expert du Moci a rédigé une note de synthèse associée à cet environnement risque pour la plupart des pays du globe.

Appréciation du credit manager Moci

Risque pays : très bon
Risque client : bon, mais à surveiller

Notes de risque pays

OCDE : Non classé (octobre 2021)
Euler Hermes : AA1, risque de court terme faible (octobre 2021)
Coface : pays A2 ; environnement des affaires A1 (octobre 2021)
Credendo : court terme : 1/7 ; commercial : C ; risque de transfert : 1/7 (octobre 2021)
Atradius : 1/10 (octobre 2021).

Environnement des affaires
Indice de perception de la corruption1 : 11/180

Sources : (1) Transparency international.

Obtenir des renseignements de notoriété sur l’acheteur

Dans l’ensemble, on trouve au Canada une qualité d’informations sur les entreprises acceptable et fiable.

Voici une source locale efficace :

Canadian Credit Reporting Limited
www.canadiancredit.com
[email protected]
À noter que CCR délivre également des infos sur les personnes physiques.

Et bien évidemment, pour les informations de base, on peut contacter les principaux acteurs présents en France sur le marché de l’information sur les entreprises : Altares, Bureau Van Dijk, Ellisphere, Intersud…

Moyens de paiement

Monnaie locale
Le dollar canadien (CAD).
Librement convertible.

Taux de change au 9 octobre 2021 :
1 EUR = 1,44657 CAD
1 CAD = 0,69099 EUR
1 USD = 1,25119 CAD
1 CAD = 0,79905 USD

Meilleures monnaies de facturation des échanges
Le dollar américain (USD) et, de plus en plus accepté, l’euro (EUR).  

Conseillés
Selon le montant de la transaction, virement Swift, éventuellement garanti par une lettre de crédit standby, ou crédit documentaire. Sauf peut-être pour des raisons de trésorerie, pour des crédits documentaires de montant élevé, à paiement différé et négociables (dans le cas de convention d’escompte sans recours par exemple), il n’est pas besoin de faire confirmer compte tenu de la bonne tenue des banques canadiennes en général. 

Déconseillés
Comme d’ordinaire dans les transactions internationales, éviter chèques et effets de commerce.

Conditions de paiement

Délais de paiement habituels
Le délai standard est de 30 jours. Localement on constate un léger allongement des délais accordés, en moyenne 35 jours.

Risques de retards de paiement
Dans son étude sur l’évolution du BFR dans le monde, publiée fin juillet 2021, Euler Hermes mentionne pour le Canada, en 2020, un DSO (Days Sales Outstanding) moyen de 53 jours.  

Atradius, dans son étude sur les pratiques de paiement publiée en juillet 2021, indique un délai moyen de paiement de 43 jours sur les premiers mois de 2021, avec 16 % des paiements au-delà de 60 jours.

Cribis Dun and Bradstreet, dans son Payment study 2021, couvrant l’année 2020, mentionne que 31 % seulement des entreprises respectent les échéances négociées, un chiffre qui ne montre aucune amélioration par rapport à l’année précédente. Et 1,4 % règlent avec plus de 90 jours de retard.

Acomptes à la commande
On peut en obtenir si le montant le justifie ou si c’est une première transaction commerciale.

Garanties bancaires locales

On peut obtenir les garanties classiques dans des délais et à des coûts raisonnables. La lettre de crédit standby est très pratiquée. Associé à un virement bancaire, ce moyen de paiement supplante le crédit documentaire.

Tribunal compétent en cas de litige et droit applicable

• Tribunal français ou tribunal local.

• Si vous faites le choix du droit local, attention : le système canadien est complexe, car il coexiste un droit civil à la française pour le Québec, et un droit de « common law » pour les autres provinces. Sauf disposition contraire dans le contrat, le tribunal compétent sera celui de la province dans laquelle réside l’acheteur. Avantage : les jugements sont souvent rendus dans un délai beaucoup plus court qu’en France.

Classement Banque mondiale, règlement insolvabilité, 2020 : 13/190. 

Le conseil du credit manager

Attention, on le répète chaque année : le Canada est une fédération formée de provinces et territoires, avec des lois différentes d’une province à une autre. Ainsi, en matière de clause de réserve de propriété, pour être opposable aux tiers, selon les provinces, elle doit être enregistrée ou non. Et dans ce dernier cas, c’est parfois
très fortement recommandé. 

Ces différences locales se retrouvent également en matière de prescription commerciale : si dans la majorité des provinces, le délai est de deux ans, une minorité de petites provinces applique un délai de six ans. Les entreprises canadiennes ont la réputation de respecter leurs engagements financiers. Attention, toutefois, à la rédaction des contrats : soyez très rigoureux et attentifs au respect des obligations. 

Le niveau des faillites était en baisse de 2016 à 2018 mais était remonté en 2019, d’environ 3 %. Comme dans de nombreux autres pays, des dispositions ont été prises par le gouvernement canadien et les autorités provinciales pour « freiner » l’explosion des défaillances suite à la pandémie en cours, entrainant des baisses plus ou moins spectaculaires. Dans son étude publiée le 6 octobre, Euler Hermes mentionne ainsi une baisse de 23 % des défaillances à fin 2020, et prévoit une autre baisse de 10 % à fin 2021. Un rebond de 16 % des faillites (à 2 200) est anticipé par l’assureur-crédit pour l’année 2022. Par ailleurs, même si les retards de paiement sont toujours aussi faibles, prudence néanmoins pour les transactions avec un nouveau partenaire, surtout si le montant est élevé.

Mobilité

Chiffres clés

Langues : anglais. Français au Québec. 10 millions de personnes parlent le français dont 2,7 millions en dehors du Québec.
Religions : catholiques : 43,6 % ; protestants : 29,2 %.
Nombre de Français immatriculés (2020) : 98 894.
Nombre d’entreprises françaises implantées : 550.
Émissions CO2 (tonnes/hab., 2019) : 15,7 t.
Indicateur global de sécurité (GPI, 163 pays, 2021) : 10e, niveau « très élevé ».

Sources : MEAE, Banque mondiale, Commission européenne (base de données EDGAR), FMI, Institute for Economics & Peace pour le GPI et Le Moci.

S’y rendre

Formalités

Afin de gérer l’éclosion de la maladie du coronavirus (Covid-19), des restrictions de voyage ont été mises en place pour limiter les voyages vers le Canada. La très grande majorité des personnes ne peuvent pas se rendre au Canada. Ces mesures sont actuellement en vigueur jusqu’au 6 septembre 2021. Ces restrictions suspendent tous les voyages non essentiels (discrétionnaires) au Canada. 

Le dispositif pouvant être modifié, il est conseillé de se renseigner sur le site : https://www.canadainternational.gc.ca/france/Covid-19.aspx?lang=fra.

Les autorités canadiennes continuent de déconseiller les voyages, à l’intérieur du Canada, vers ou depuis l’extérieur du Canada. En conséquence et au regard des contraintes ci-dessus, il convient de reporter tout voyage non essentiel vers le Canada.

Source : Ambassade du Canada en France et MEAE.

Y travailler

Le marché du travail

L’économie canadienne a chuté à -5,4 % en 2020, la plus forte contraction économique depuis 1945. Le taux de chômage est passé à 9,6 % en 2020 (FMI), les chômeurs de longue durée (27 semaines ou plus) représentant 24,8 % des chômeurs au Canada. Pour faire face à la pandémie, le gouvernement fédéral a adopté des changements temporaires à son programme d’assurance-emploi. Dans l’hypothèse d’un apaisement de la pandémie, le taux de chômage devrait progressivement baisser à 8 % cette année et 6,5 % en 2022 (FMI).

Les opportunités d’emploi sont par ailleurs plus importantes dans le Canada anglophone que dans la province de Québec. Le Canada pratique cependant une politique d’immigration très sélective. Une maîtrise de l’anglais est incontournable car elle élargit les possibilités d’emploi.

 Principaux secteurs porteurs : industrie aérospatiale, agroalimentaire, automobile, chimie, technologies de l’information et des communications (TIC), pétrole et gaz, biotechnologie, santé et soins à la personne, appareils médicaux, industrie pharmaceutique et matières plastiques.

Les Canadiens préfèrent le téléphone et les rencontres physiques pour rechercher du travail. Il ne faut donc pas hésiter à appeler régulièrement les services des ressources humaines des grandes entreprises. Le Bureau d’immigration du Québec organise des jour-nées de recrutement destinées à favoriser les rencontres entre employeurs et employés (www. facebook.com/JourneesQuebec).

Au niveau fédéral, l’ambassade du Canada organise régulièrement des réunions d’information et participe souvent aux salons et manifestations dédiés à l’expatriation.

Sources : https://m.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/canada/apprehender-le-contexte-economique, Ambassade du Canada en France et Le Moci.

Le cadre légal du travail
Avant le recrutement, il n’est pas rare qu’on vérifie les références, l’identité, la moralité et le casier judiciaire, l’état de santé.

Salaire minimum légal : varie selon les provinces (entre 11,45 et 16 CAD/heure, soit entre 7,8 et 10,9 euros).

Durée de travail : la durée normale du travail est de 8 heures par jour et de 40 heures par semaine. La durée hebdomadaire maximale du travail est de 48 heures.

Durée de la période d’essai/du préavis : période d’essai de 3 mois.

Nombre d’heures travaillées par an (2020) : 1 644 heures par personne.

 Emploi à temps partiel/total (2020) : 18 %.

Rémunération, avantages et impôts : salaire fixe en fonction de la formation et de l’expérience. Les primes sont liées au poste (secteur et position hiérarchique) et à l’organisation de l’entreprise. 

Jours chômés hebdomadaires : samedi et dimanche.

Horaires de travail
Magasins et bureaux : 10 h – 18 h, 9 h – 18 h dans les grandes villes. 

Sources : MEAE, UFE, OCDE et Business France.

Meilleurs sites d’emploi
www.jobboom.com/fr
www.guichetemplois.gc.ca
www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr
www.immigrationfrancophone.ca/fr
www.canada.gc.ca/immigration
www.france.gc.ca
www.destination-canada-forum-emploi.ca

Vie pratique

Coût de la vie
Monnaie :
dollar canadien (CAD). 

Indice Big Mac : 5,31 USD.  

Se loger : dans la banlieue de Toronto, les loyers s’établissent en moyenne de la façon suivante : il faut compter 1 100 euros/mois pour un studio et 1 800 euros/ mois pour un appartement de trois pièces. En centre-ville : 1 300 euros/mois et 2 300 euros/mois respectivement. À Toronto, le nombre de logements offerts à la location est assez faible, ce qui rend le prix des loyers assez élevé. Le loyer de nombreux logements inclut tout ou partie des charges. Les charges représentent en moyenne 7,5 à 8 % du montant du loyer. La caution est le plus souvent interdite mais en revanche on vous demandera de payer à l’avance le premier et le dernier mois de location, en général pour un an. La colocation est très répandue.

Indice Mercer du coût de la vie (logement compris, 209 villes) : Vancouver (93e), Toronto (98e), Montréal (129e), Calgary (145e) et Ottawa (156e).

Sources : MEAE, Mercer, Numbeo.com, The Economist et XE currency converter.

Informations utiles

Distances de ville à ville
Entre Toronto et Ottawa : 450 km
Prix avion : environ 400 euros.

Déplacements de ville à ville
Service d’autocar Greyhound ou avion qui est le mode de transport le plus utilisé.  

Nature du réseau électrique
110 volts. 

Télécommunications
Indicatif : +1.
Qualité du réseau mobile : excellente à proximité des grandes villes, aléatoire ailleurs.
Qualité du réseau Internet : excellente.

Principaux jours fériés 2021
7 septembre : fête du travail (national).
12 octobre : jour d’action de grâce (national).
11 novembre : jour du souvenir (national).
25 décembre : Noël.
26 décembre : lendemain de Noël.

Contacts

Les contacts utiles

En France
Ambassade du Canada
www.amb-canada.fr
[email protected]

Délégation générale du Québec
www.international.gouv.qc.ca/fr/paris
[email protected]

Sur place
Ambassade de France
https://ca.ambafrance.org
[email protected]

Service économique régional d’Ottawa
www.tresor.economie.gouv.fr/pays/canada

Bureaux Business France au Canada (Toronto, Montréal et Vancouver)
http://export.businessfrance.fr/canada/export-canada-avec-nos-bureaux.html
[email protected]

Chambre de commerce et d’industrie française au Canada
www.ccifcmtl.ca

Logistique & Douane

La Banque mondiale a annoncé en septembre 2021 l’arrêt de la publication Doing Business. Nous rappelons ici les dernières évaluations disponibles. Dans le classement « Doing Business 2020 », le Canada était classé au 51e rang mondial (-1 place par rapport à 2019) pour la performance du commerce transfrontalier. Sont mesurés dans cette rubrique les délais et les coûts (hors droits de douane) associés à trois catégories de procédures : respect des exigences en matière de documentation, respect des procédures de commerce transfrontalier et transport intérieur. Les délais sont fournis en nombre d’heures et les coûts en dollars US. Le transport intérieur n’est toutefois pas intégré dans la note finale.

• À l’export : respect des procédures de commerce transfrontalier (durée 2 h. ; coût 167 USD) ; respect des exigences en matière de documentation (1 h. ; 156 USD).

• À l’import : respect des procédures de commerce transfrontalier (durée 2 h. ; coût 172 USD) ; respect des exigences en matière de documentation (1 h. ; 163 USD).

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Risques et paiements :
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