• S’abonner
  • Les newsletters
  • Fiches pays
    • Europe
      • Allemagne
      • Autriche
      • Belgique
      • Biélorussie
      • Bulgarie
      • Croatie
      • Danemark
      • Espagne
      • Estonie
      • Finlande
      • France
      • Grèce
      • Hongrie
      • Irlande
      • Italie
      • Lettonie
      • Lituanie
      • Luxembourg
      • Malte
      • Norvège
      • Pays-Bas
      • Pologne
      • Portugal
      • République Tchèque
      • Roumanie
      • Royaume-Uni
      • Russie
      • Serbie
      • Slovaquie
      • Slovénie
      • Suède
      • Suisse
      • Ukraine
    • Afrique
      • Afrique du Sud
      • Algérie
      • Angola
      • Bénin
      • Burkina Faso
      • Cameroun
      • République démocratique du Congo (RDC)
      • Côte d’Ivoire
      • Djibouti
      • Ethiopie
      • Gabon
      • Ghana
      • Guinée
      • Guinée équatoriale
      • Kenya
      • Libye
      • Madagascar
      • Mali
      • Maroc
      • Maurice (Île)
      • Mauritanie
      • Mozambique
      • Niger
      • Nigeria
      • Ouganda
      • Rwanda
      • Sénégal
      • Tanzanie
      • Togo
      • Tunisie
    • Asie
      • Azerbaïdjan
      • Chine
      • Corée du Sud
      • Hong Kong
      • Inde
      • Indonésie
      • Japon
      • Kazakhstan
      • Malaisie
      • Mongolie
      • Myanmar (Birmanie)
      • Ouzbékistan
      • Pakistan
      • Philippines
      • Singapour
      • Taïwan
      • Thaïlande
      • Turkménistan
      • Vietnam
    • Amérique
      • Argentine
      • Brésil
      • Canada
      • Chili
      • Colombie
      • Etats-Unis
      • Mexique
      • Pérou
      • El Salvador
      • Uruguay
      • Venezuela
    • Océanie
      • Nouvelle-Zélande
      • Australie
  • Actualités réglementaires
  • Se connecter
  • S'inscrire
Pas de résultats
Tous les résultats
Le Moci
S'abonner
  • À la une
  • Idées
  • Entreprises
  • Secteurs
  • Pays
  • Services aux exportateurs
    • Logistique
    • Finance et assurance
    • Aides et subventions
  • Guides et Expertises
  • Carrières
  • Webconférences
  • TROPHÉES
Pas de résultats
Tous les résultats
  • À la une
  • Idées
  • Entreprises
  • Secteurs
  • Pays
  • Services aux exportateurs
    • Logistique
    • Finance et assurance
    • Aides et subventions
  • Guides et Expertises
  • Carrières
  • Webconférences
  • TROPHÉES
Pas de résultats
Tous les résultats
Le Moniteur du commerce international
Pas de résultats
Tous les résultats
Accueil Actualités

Michel Beaugier : en Asie, « la situation est devenue dramatique »

Par Christine Gilguy
Publié il y a 4 ans
Dans Actualités, L'Info Export, Pays & marchés
Temps de lecture : 10 mins read

Michel Beaugier, président de la Commission APAC des CCE (Ch. Gilguy))

L’Asie, qui pensait avoir vaincu la Covid-19, s’est réveillée avec la gueule de bois il y a trois mois face à la propagation des variants delta venus d’Inde. Les JO de Tokyo commencent dans quelques jours sans spectateur, les restrictions sanitaires pleuvent sur une zone, notamment en Asie du Sud et du Sud-Est, où les taux de vaccination sont faibles. Président de la Commission Asie-Pacifique (APAC) des Conseillers du commerce extérieur de la France (CCEF) et vice-président du comité Singapour des CCE, Michel Beaugier fait le point pour Le Moci.

Le Moci. Quelle est la situation des restrictions sanitaires en Asie alors que les jeux de Tokyo vont bientôt avoir lieu ?

Michel Beaugier. En ce moment la situation évolue chaque jour. Il faut faire un petit historique pour bien comprendre la situation. En Asie du Nord, le Japon, la Corée, Taiwan, Hong Kong, la Chine, avaient la perception il y a encore 2 mois d’avoir vaincu la pandémie. Ils n’ont pas pour autant réouvert leurs frontières mais ils pensaient que le plus dur était fait.

En Asie du Sud-Est, à Singapour, au Vietnam, en Thaïlande, c’est ce même sentiment qui prévalait à l’exception des trois grands pays à économie informelle (pays où 30 % de la population travaille pour payer la nourriture du lendemain, forte population rurale et insulaire) que sont les Philippines, l’Indonésie et l’inde. Ces trois pays savaient qu’ils ne parviendraient pas à vaincre la pandémie mais dans l’incapacité de tester et vacciner, ont laissé faire. Leurs chiffres de contamination, leurs statistiques de décès, étaient totalement sous évaluées.

Avec la propagation des variants delta en provenance d’Inde, toute l’Asie s’est réveillée avec la gueule de bois. Ils se sont rendu compte que la contamination progressait d’une façon exponentielle.

« Tout le monde est touché par les variants delta »

 

Le Moci. Quels types de réponses ont-ils mis en place ?

M.B. Il y a deux sortes de situation : les pays dont les gouvernements ont pu développer ou obtenir des vaccins et ceux qui n’en ont pas.

Parmi ceux qui ont fait le nécessaire, en tête la Chine, qui a développé 3 ou 4 vaccins, dont Sinovac, Sinopharm, Cansino. D’autres pays ont acheté des vaccins comme la Corée du Sud, le Japon, Hong Kong.

Tous les autres pays n’ont pas de vaccins ! Qu’il s’agisse des pays à économie informelle ou non. Ils n’ont pas fait le nécessaire à temps, soit parce ils n’avaient pas d’argent, soit parce qu’ils s’y sont pris trop tard et qu’il n’y avait plus de vaccin au moment où ils en voulaient, mais avant tout par excès de confiance sur les bénéfices du confinement et de la fermeture des frontières.

On se retrouve maintenant dans une configuration où tout le monde est touché à nouveau par les variants delta, avec une forte différence entre les pays riches d’Asie du Nord ainsi que Singapour, qui a eu une politique vaccinale optimale avec 71 % de la population vaccinée en première injection a l’heure où nous parlons, et les autres plus au Sud, où le taux de vaccination est faible voire proche de zéro. Au Vietnam par exemple, qui avait bien contrôlé la pandémie jusque-là, le taux de vaccination est de seulement 4 %  …

[Voir le tableau des taux de vaccination en Asie au 18/07/2021 téléchargeable à la fin de cet article] 

Le Moci. Quelles sont les dernières nouvelles sur les restrictions sanitaires ?

M.B. Ces derniers jours, la situation est devenue dramatique. La Thaïlande, l’Indonésie, viennent de refermer les commerces, et la Malaisie a annoncé dès le 1er juin une prolongation indéfinie du confinement. Le Vietnam a reconfiné Hanoi et Hô Chi Minh-Ville. Des villes entières sont encerclées, isolées, avec barrages à l’entrée, dès que des clusters apparaissent.

Les taux d’infection varient d’un pays à l’autres mais ils sont considérables sachant que les chiffres officiels sont souvent largement sous-estimés. Il faut les multiplier par 10, 100 voire 1 000 parfois pour approcher de la réalité, car dans des pays comme l’Inde ou l’Indonésie, dans les campagnes ou les bidonvilles très peuplés, les cas ne sont même pas quantifiés.

« Le nombre d’expatriés a chuté fortement »

 

Le Moci. Face à cette situation, quelle est l’ambiance dans les milieux d’affaires français en Asie ?

M.B. On est plongé dans la plus grande incertitude quant à la manière dont ces pays vont pouvoir s’en sortir. Nous sommes environ 750 CCE dans la zone et nous avons des réunions en visio continuellement, en lien avec le réseau diplomatique et consulaire et les services gouvernementaux français. Se posent des problèmes de circulation et d’expatriation avec des conséquences terribles.

Le nombre d’expatriés français a chuté très fortement. Nous avons actuellement 133 000 expatriés en Asie-Pacifique, plus 15 à 20 % de non-inscrits dans les consulats, selon les pays. C’est 40 000 de moins qu’en 2019 où on en comptait plus de 170 000 ! Et je pense que ce chiffre va continuer à tomber, c’est une conséquence de cette situation d’incertitude que malheureusement notre gouvernement ne perçoit pas clairement.

Le Moci. Cela signifie donc que des expatriés ne veulent pas ou ne peuvent pas revenir dans la zone ?

M.B. Je m’attends au pire après les vacances estivales parce qu’à l’heure où nous nous parlons, tous nos expatriés sont en train de s’interroger : est-ce que je dois rentrer pour les vacances ? Est-ce que je fais rentrer seulement ma famille ? Si je rentre, que va dire mon employeur ? Est-ce qu’il acceptera, à mon retour, de me laisser dans un hôtel avec une quarantaine d’une durée incertaine, un certificat de vaccination improbable ? Est-ce que je vais pouvoir seulement rentrer travailler ? Qu’est-ce que je dois faire de mes enfants ? Est-ce que je les inscrits dans le lycée français ou dans le lycée international du pays dans lequel je me trouve ou est-ce que je les remets dans une scolarité française ? Les lycées français vont-ils les accepter ? Et si je reste en France, où vais-je habiter si je n’ai pas de résidence ? Est-ce moi qui rentre où est-ce mon ou ma conjoint(e) ?

Nombreux sont ceux qui ont répondu à ces questions avec pour conséquence des familles éclatées depuis une ou deux années et des enfants qui n’ont pas vu leur père depuis des mois. Autre conséquence, l’équilibre financier de certains lycées français a été fragilisé. Celui de Manille, par exemple, a vu le nombre d’élèves tombé de 400 à 240, et l’on s’attend à ce qu’il descende sous les 200 à la prochaine rentrée. Comment va-t-il pouvoir tenir financièrement ? Et quid des enseignants ?

Les pays dont l’économie est inclusive tournent


Le Moci. Et concernant le climat des affaires ?

M.B. A l’heure où je vous parle, de nombreux pays ont gelé les activités commerciales et les sorties, tout dernièrement la Thaïlande, où plus personne n’a le droit de bouger. Mais tous les pays sont touchés sans exception et prennent des mesures drastiques de restriction sanitaire du Sud au Nord de l’Asie, y compris le sous-continent indien. La Nouvelle-Zélande a convoqué une réunion d’urgence des pays de l’Apec, sous la présidence de la Première ministre Jacinda Ardern, avec la participation du président Jo Biden, de son homologue chinois Xi Jinping et de Vladimir Poutine pour la Russie. L’objectif était de définir des mesures d’urgence pour faire face à cette situation et d’obtenir une répartition plus équitable des vaccins.

Le Moci. Et comment se présente la situation au niveau économique dans ce contexte ?

M.B. La Chine reste au top, même si on annonce un ralentissement de la croissance, on part de haut, avec un rythme de croissance aux environs de 15 % versus la période pré covid. Elle reste l’usine du monde à l’export, avec des tarifs de conteneurs au départ de Chine qui atteignent des sommets, entre 10 000 et 15 000 dollars. Et elle peut compter sur une consommation locale, dite inclusive, dynamique. La Corée, le Japon, Singapour tournent également car leur économie est inclusive, avec une consommation locale qui soutient la croissance. Ce que les Singapouriens n’ont pas pu dépenser à l’étranger, ils le dépensent chez eux.

Certains pays d’Asie du Sud-Est se portent moins bien car leurs économies ont une plus grosse dépendance aux voyageurs, donc moins inclusives, la consommation locale compense très faiblement les pertes liées à la chute du tourisme et des exportations. Avec la fermeture des commerces, des pays comme la Thaïlande et l’Indonésie vont voir leur situation s’aggraver.

La Chine reste à la barre en Asie, parce que sa croissance est à la fois domestique et tirée par l’exportation.

Le Moci. Comment s’explique ce retournement au Vietnam, qui était montré en exemple ?

M.B. Le Vietnam est touché par la pandémie d’une façon très violente actuellement. Songez qu’ils avaient zéro décès lié au Covid, et très peu d’infections, avec une gestion remarquable de la pandémie qui s’est reposée sur les réseaux sociaux et la forte volonté des Vietnamiens de se protéger. Aujourd’hui, de nombreux cas d’infection proviennent de personnes ayant franchi la frontière de façon illégale, souvent en provenance de Chine. Les aéroports, les ports sont fermés, des villages et des villes sont confinés. Dès qu’ils découvrent un cluster de contamination, ils le confinent, un peu à la manière de ce qu’ont fait les Chinois.

« Les CCE d’Asie pensent que
les frontières ne réouvriront pas avant mars 2022 »

 

Le Moci. Cette crise sanitaire va-t-elle durer en Asie ? Quelles sont les remontées des milieux d’affaires à ce sujet ?

M.B. Il y a une énorme incertitude et de l’inquiétude car les informations que fournissent les gouvernements ne sont pas encourageantes. La Chine, par exemple, a annoncé il y a quelques jours qu’elle n’ouvrira pas les frontières avant juin 2022, ce qui signifie que pour de nombreux mois les régimes de quarantaine et de tests PCR restent en vigueur. L’Australie a annoncé qu’elle n’ouvrirait pas avant les élections générales, avec une incertitude sur les dates du scrutin : novembre, février, mars ? Au Vietnam et en Australie, les aéroports sont fermés.

D’une façon générale, les CCE d’Asie pensent que les frontières ne réouvriront pas avant mars 2022, une fois passées toutes les fêtes de la lune (Chinese New Year, Tet au Vietnam…), qui génèrent chaque année des transhumances familiales dans toute la région. En d’autres termes, aujourd’hui, les frontières sont fermées et elles vont le rester pour quelques mois. Avec des modalités de dérogations nécessitant des contraintes absolument incroyables en termes de quarantaine, de test et de vaccination.


Singapour et la France
négocient la mise en place de « travel bubbles »


Le Moci. Et comment voyez-vous la sortie de cette crise ?  Le pass sanitaire est-il une solution ?

M.B. La sortie de crise repose sur plusieurs éléments : d’abord une vaccination de masse, une sélection de vaccins acceptée par tous (aujourd’hui Pfizer et Moderna seulement) et ensuite la création d’un pass sanitaire sous format numérique et papier, avec un QR Code, authentifiable et infalsifiable, j’insiste sur ces deux derniers mots.

Il faut savoir que Singapour a été pionnier en la matière avec son pass sanitaire et son application « TraceTogether », dont la France s’est inspirée pour sa propre application « TousAnticovid ». Singapour et la France sont les deux premiers pays au monde à s’être dotés d’un tel dispositif de pass sanitaire, authentifiable et infalsifiable.

Se pose aussi la question du vaccin : lequel choisir ? Certains vaccins sont acceptés internationalement, d’autres non. En outre, chaque pays garde sa souveraineté sanitaire, même dans l’Union européenne : il peut refuser de reconnaître un vaccin, même si ce dernier a été validé par l’OMS ou l’Agence européenne du médicament (AME). Nous recommandons fermement de rester sur Pfizer et Moderna a ce stade.

Enfin, il faut pouvoir prouver la vaccination. On en revient au dispositif « pass », pour lequel seuls deux pays au monde sont pour l’instant opérationnels, la France et Singapour. Le taux de vaccination y est de respectivement 56 % et 71 % et on y utilise les mêmes vaccins.

Le Moci. Comment tirer parti de cette proximité avec Singapour et des « Travel Bubble » ?

M.B. Notre espoir est que l’exemple de Singapour, qui a une certaine autorité morale dans la région, inspire les autres pays, notamment en Asie du Sud-Est.

Singapour refuse de négocier avec l’Union européenne pour une reconnaissance mutuelle des dispositifs de pass sanitaire, elle préfère négocier sur un plan bilatéral avec chaque pays membre de l’Union. Des négociations ont donc été lancées entre la France et Singapour. Si les deux gouvernements arrivaient à s’entendre, nos expatriés basés à Singapour pourraient éventuellement être éligibles pour voyager dans les « travel bubbles » que Singapour ne manquera pas de négocier avec d’autres pays de la région APAC. Ces « travel bubbles », ce sont des sortes de corridors sanitaires entre les deux pays qui ont adoptés une approche similaire en matière de dispositif de pass sanitaire.

L’enjeu est de permettre aux ressortissants français qui cochent toutes les cases du pass sanitaire de se déplacer entre les deux pays en évitant les contraintes de la quarantaine. Et réciproquement. Si l’on parvient à créer de tels corridors entre les deux pays, nous espérons que cela convaincra les pays de l’Asean de la fiabilité du pass français et les incitera à suivre l’exemple de Singapour.

Le Moci. La Chine se sert-elle du vaccin comme arme d’influence dans la région ?

M.B. Il y a une espèce d’opportunisme chinois qui permet de faire avancer son initiative BRI (Belt and Road Initiative). Lancée par Xi Jinping, celle-ci ne s’arrêtera jamais, j’en suis convaincu. La Chine continuera à essayer de renforcer son emprise sur les territoires qu’elle revendique en Mer de Chine, elle ne lâchera jamais Taiwan.  Actuellement, elle utilise les vaccins comme outil de négociation avec certains pays émergents et « obedients », proposant d’échanger des doses de Sinovac et Sinopharm contre des projets de grands travaux d’infrastructures.  C’est le cas au Laos, au Cambodge, au Sri Lanka, à Myanmar, aux Philippines et dans de multiples pays du continent africain.

Propos recueillis
par Christine Gilguy

(Le 16 juillet, mis à jour le 19 juillet 2021)

TableauTauxVaccinAsie18072021
Étiquettes : AseanAsieBeaugierChineCommerce extérieurCommerce internationalCovid-19JaponpandémieSingapourVietnam

La boîte à outils export

DATA & SERVICES

19.000 salons internationaux 25.000 données et études de marché
Bourse des expatriés français à missionner Les formations à l'export Voir plus

FORMALITÉS

Code douane nationaux Codes douanes internationaux
Actualités règlementaires import-export Modèles de courriers Voir plus

RISQUES

Fiches Pays Analyse des risques par pays Risques pays par Allianz Trade
Le MOCI Logo

Le Moci est le media n°1 au service des entrepreneurs, des conseillers et des professionnels du commerce international : Actualités online, magazine, dossiers, analyses, guides pratiques, réglementations, aides Export, carrières... Depuis 130 ans, des générations d'exportateurs français font confiance au Moniteur du Commerce International pour partager informations, ressources et expériences.

À la une

  • UE-Singapour : signature du premier accord sur le commerce numérique international
  • Aéronautique : le secteur redécolle grâce à l’export
  • Conseil présidentiel du commerce extérieur : les acteurs privés du soutien export veulent un rééquilibrage des rôles

Actualités des secteurs

  • Agroalimentaire
  • Industrie
  • Construction, architecture et design
  • Distribution et e-commerce
  • Environnement et énergie
  • Informatique, télécom et numérique
  • Machine et équipements
  • Business et services
  • Transport et logistique
  • Tourisme, loisir et culture
  • Innovation
  • Aéronautique, spatial et défense
  • Juridique et règlementations
  • Santé
  • Marchés publics

© 2025 Le Moci. Tous droits réservés.

  • Aide / Contact abonnements
  • Publicité & partenariats
  • Qui sommes-nous ?
  • Mentions légales
  • CGV/CGU
  • Politique de confidentialité
  • Paramètres de gestion de la confidentialité
  • Se connecter
  • Créer un compte
  • Panier
  • Export : à la une
  • Idées
  • Entreprises
  • Secteurs
  • Pays
  • Services aux exportateurs
    • Secteurs transport et logistique
    • Finance et assurance
    • Aides et subventions
  • Guides et Expertises
  • Carrières
  • Agenda des événements
  • Les magazines du Moci
  • Les newsletters du Moci
  • Les fiches Pays export
  • Actualités Réglementaires
  • Palmarès

© 2025 Le Moci. Tous droits réservés.

Bienvenue !

Connectez-vous

Mot de passe oublié ? Créer un compte

Créer un compte

Merci de compléter le formulaire

Tous les champs sont obligatoires Se connecter

Réinitialisez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse e-mail pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
  • Se connecter
  • Créer un compte
  • Panier
  • Export : à la une
  • Idées
  • Entreprises
  • Secteurs
  • Pays
  • Services aux exportateurs
    • Secteurs transport et logistique
    • Finance et assurance
    • Aides et subventions
  • Guides et Expertises
  • Carrières
  • Agenda des événements
  • Les magazines du Moci
  • Les newsletters du Moci
  • Les fiches Pays export
  • Actualités Réglementaires
  • Palmarès

© 2025 Le Moci. Tous droits réservés.