Dans un communiqué du 2 mars, le ministère français de l´Environnement s´est félicité, à l´issue du Conseil de l´Union européenne, que la possibilité soit laissée à l´Autriche et la Hongrie « d´interdire la culture de deux OGM sur leur territoire ».
Ainsi, « l´importance du principe de subsidiarité et de la prise en compte de l´opinion publique » est reconnue. En outre, l´Europe considère que les clauses de sauvegarde nationales sont fondées « sur une évaluation plus rigoureuse que celle qui avait conduit à l´autorisation des OGM concernés à l´échelle européenne sur la base d´une législation antérieure ».