Arnaud Vaissié, président de CCI France International : « Notre réseau compte 113 chambres dans 83 pays. L’idée est d’avoir une chambre dans chaque grande ville du monde ».
Déclaration lors d’une table ronde sur l’international organisée le 27 octobre dans le cadre de l’assemblée générale de CCI France, l’organisme confédéral des chambres de commerce et d’industrie en France. Celui qui préside la CCI française au
Royaume-Uni a donné pour exemple Toronto, où l’ensemble des acteurs français de la diplomatie économique, ambassade en tête, se mobilise pour relancer une chambre de commerce française afin de ne pas compter que sur celle de Montréal pour la partie anglophone du Canada.
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Stéphane Bossavit, directeur de CCI International Nord de France : « Si tout va bien dès le 1er janvier prochain, avec la CCI de Région Picardie, nous pourrons proposer des actions communes à l’international ».
Déclaration lors d’une table ronde sur l’international organisée le 27 octobre dans le cadre de l’assemblée générale de CCI France, l’organisme confédéral des chambres de commerce et d’industrie en France. Il évoquait son expérience, en matière d’accompagnement à l’international, dans une Région appelée à se regrouper avec la Picardie, mais dont le Conseil régional a fait une « quasi délégation de service » au réseau consulaire dans ce domaine. Une région où le jeu collectif fonctionne : « Les deux tiers du chiffre d’affaires de Business France dans notre région vient des chambres », a-t-il remarqué.
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Yves Lyon-Caen : « Nous voulons que le nautisme et la plaisance s’inscrivent dans le plan d’actions des filières existantes dans les régions qui vont sortir du scrutin du 6 décembre ».
Déclaration du président de la toute nouvelle Confédération du nautisme et de la plaisance, le 27 octobre à Paris, lors du lancement officiel de cette association loi 1901. Pour en savoir plus, lire notre article dans la Lettre confidentielle, intitulé : Nautisme et plaisance : sept fédérations fondent une Confédération pour être entendues
Jean-Marie Aurand : « Les normes de l’OIV sont reprises par l’Union européenne ou le Mercosur, car elles sont le résultat d’une expertise et scientifique – nous disposons d’un vivier de 1 000 experts mis à disposition par nos 46 États-membres – et qu’ensuite c’est décidé à l’unanimité des États-membres. Les normes sont ainsi une garantie pour les consommateurs, mais aussi pour les producteurs et exportateurs, car elles empêchent la mise en place de barrières non tarifaires et donc facilitent les échanges. Par ailleurs, le vin, c’est aussi une dimension culturelle et 8 000 ans d’histoire et si nous sommes ouverts à l’innovation, nous ne voulons pas aller trop loin – c’est un équilibre délicat à trouver – pour maintenir l’identité, l’authenticité du vin ».
Propos tenus, le 28 octobre, par le directeur général de l’Organisation internationale de la vigne et du vin, alors que les États-Unis, qui négocient aujourd’hui avec l’Union européenne le Partenariat transatlantique sur le commerce et l’investissement (PTCI ou en anglais TTIP), ont quitté l’organisation depuis 15 ans et maintiennent des particularités en matière de normes (notamment étiquetage…). Les Américains raisonnent toujours plus en termes de marques que d’appellations d’origine contrôlée (AOP), concept défendu par les Européens, notamment les Français, dans le cadre du TTIP (en déroulé, Transatlantic Trade and Investment Partnership).