Alain Bentejac : « Pour l’instant, j’ai eu plusieurs e-mails de félicitations, de différents ministères. Voilà… Cela dit, il faut préciser que je ne suis pas encore formellement en fonction : il faut attendre l’assemblée générale de juin. L’organisation ministérielle, ce n’est pas nous qui la faisons : nous sommes des pragmatiques, nous travaillons avec l’organisation qui est en place ».
Réponse prudente, au Moci, le 16 mai qui l’interrogeait malicieusement sur les coups de fil qu’il avait pus recevoir des ministères -et surtout desquels- suite à son élection à la présidence des CCEF par son conseil d’administration. Car traditionnellement, c’est le Commerce extérieur, récemment passé pour la première fois de Bercy au Quai d’Orsay, qui nomme les CCEF…
Jean-René Buisson, président de Sopexa : » La société compte 30 bureaux à l’étranger, souvent dirigés par des biculturels. On n’est pas présent en Afrique, qui est, pourtant, l’Asie de demain, et nous étudions les possibilités d’implantation au Maghreb. Il faudra aussi être présent en Afrique de l’Ouest. Parallèlement, nous avons engagé un travail pour nous renforcer en région, à travers des associations, des agences régionales ou le réseau consulaire. Enfin, je souhaite que Sopexa se diversifie, car, sur un chiffre d’affaires de 67,9 millions d’euros en 2013, le vin a lui seul représente une part de 55 % et c’est trop « .
Déclaration faite, le 15 mai, dans le cadre d’un entretien exclusif avec la Lettre confidentielle
Le porte-parole du Quai D’Orsay : « Notre ambassade à Tripoli est ouverte, avec des mesures de sécurité renforcées et une vigilance accrue à l’égard de nos ressortissants, avec lesquels nous sommes en contact permanent. Nous suivons très attentivement la situation en Libye et prenons, en cas de besoin, toutes les mesures pour adapter notre dispositif. »
Réponse à la question d’un journaliste le 21 mai, lors d’un point presse hebdomadaire, sur les mesures que comptait prendre la France après la vague de violences à Tripoli et Benghazi qui a poussé certaines missions diplomatiques à fermer ou rapatrier leurs personnels (Algérie, Turquie, Arabie Saoudite…).
Mauro Borges, ministre brésilien du Développement, de l’industrie et du commerce extérieur : » Pour les relations commerciales, nous estimons que l’accord de libre échange Union européenne-Mercosur est l’outil le plus important. Le Brésil est extrêmement engagé pour une concrétisation et son offre est, d’ailleurs, prête depuis octobre 2013. Côté Mercosur, nous sommes à la finalisation de l’offre conjointe et donc espérons que l’UE sera prête le plus rapidement possible à effectuer un échange d’offre « .
Déclaration faite à Paris le 20 mai, pendant le forum économique Brésil-France, organisé par Medef International en coopération avec la Confédération nationale de l’industrie (CNI) au Brésil.
Pelé, conseiller spécial du comité d’organisation du Mondial 2014 : « Il est inacceptable que plusieurs stades ne soient pas prêts. Nous avons eu plusieurs années – bien plus de temps que nécessaire. C’est une honte ! Je me réjouis des matches à venir mais quand je vois tout ce bazar, je me fais du souci, c’est frustrant. »
Déclaration au journal allemand Bild, rapporté par un article du figaro.fr , alarmiste sur les conditions du déroulement de la prochaine coupe du monde de football, dont l’ouverture est prévue le 12 juin au Brésil.
Slim Othmani, président de Care : » Nous attendons une réforme profonde du secteur bancaire algérien. Elle tarde à venir. C’est elle qui portera la dynamique de départ des PME. Il faut sortir du tout État. Le secteur bancaire doit pouvoir accéder aussi aux PME « .
Déclaration du directeur général de l’entreprise familiale de jus de fruits Roubia, également à la tête du think tank Care (Club d’action et de réflexion autour de l’entreprise), lors des Rencontres Algérie 2014, organisées, le 15 mai, par Ubifrance et le Sénat au Palais de Luxembourg.