Muriel Pénicaud, présidente de l’Afii, directrice générale d’Ubifrance : « J’ai passé 7 jours, c’est bon je reste ! ». C’est avec un certain humour que Muriel Pénicaud à commencé sa première intervention publique, à l’occasion de la présentation du bilan 2013 d’Ubifrance, répondant à Jean-Paul Bacquet, son président, qui avait remarqué que son prédécesseur, Véronique Bédague-Hamilius, n’en avait passé que 10 à la tête de l’agence (lire dans la Lettre confidentielle cette semaine : Ubifrance-Afii : la méthode Pénicaud pour réussir la fusion )
Thomas Donohue, président de la Chambre de commerce américaine (AMCHAM) : «Depuis des années, la Chambre de commerce appelle notre gouvernement à éliminer l’embargo commercial contre Cuba, l’heure est venue d’une approche nouvelle (…) C’est dans l’intérêt du peuple américain et des entreprises américaines». Déclaration à l’université de La Havane, devant des dizaines de responsables cubains et américains, reprise par un article du site d’information en ligne de Libération, liberation.fr. Il évoquait ainsi la perspective de la levée de l’embargo imposé par Washington à Cuba depuis 1962.
François Hollande, chef de l’État français : BNP Paribas « devra payer en cas de faute »mais sa sanction «ne doit pas être disproportionnée et injuste ».
C’est, selon divers médias français, ce qu’aurait écrit le président français à son homologue américain à propos des menaces de sanction que fait peser sur la banque française la justice américaine -10 milliards de dollars d’amende, suppression de sa licence américaine-, qui l’accuse d’avoir violé les sanctions américaines sur Cuba, l’Iran et le Soudan entre 2002 et 2009. Le sujet pourrait s’inviter au dîner de chefs d’État, ce soir, donné pour les commémorations du débarquement du 6 juin. Sur le même sujet, Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du développement international, a déclaré sur la chaîne France 2 le 3 juin : « S’il y a eu une faute, il est normal qu’il y ait une sanction, mais la sanction doit être proportionnée et raisonnable. Ces chiffres-là ne sont pas raisonnables ».
Evelyne Cholet, directrice des Relations internationales de la FIM : « On sent que les Algériens ont envie de rétablir les liens avec la France ».
Déclaration faite le 22 mai, lors d’un point presse de la Mission de coopération industrielle et technologique franco-algérienne, pour présenter les premiers accords de partenariats initiés sous son couvert (lire dans la Lettre cette semaine : France-Algérie : les discrètes avancées de la Mission Levet)