Et si on s’était trompé sur le diagnostic ? Mieux cibler les entreprises bénéficiaires des soutiens à l’exportation et surtout « pas les primo-exportateurs », ne pas remplacer un coût fixe par un autre lié à la « complexité » des mécanismes de soutien, ne pas attendre non plus un effet quantitatif important de ces politiques de soutien à l’exportation : telles sont quelques unes des conclusions à tirer, pour les politiques publiques, de la nouvelle note du Conseil d’analyse économique (CAE) sur la compétitivité internationale de la France publiée le 27 mai sous le titre accrocheur « A la recherche des parts de marché perdues ». Car le mal est plus profond selon cette étude, c’est « le rapport qualité prix » de l’offre française qui est en cause…
Ceci est un extrait de la Lettre Confidentielle du MOCI n° 148
diffusée le 28 mai 2015 auprès de ses abonnés
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