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La French Fab à l’export 2019 : des projets structurants

 

 

 

 

 

 

C’est par l’approche collaborative que des victoires sont obtenues. La Team France Maritime ne peut pas laisser indifférente quand elle gagne un contrat de 50 milliards de dollars en Australie. Parfois, il faut savoir commencer par des petits pas, comme un congrès dans le diabète en Chine. Dans l’automobile, on accélère avec les Allemands sur un projet de batteries.

 

Automobile/véhicule électrique
Un moteur franco-allemand dans les batteries

 

Un ministre français et un ministre allemand sur la même ligne de départ dans l’automobile, c’est en soi exceptionnel.

Même si le démarrage est difficile, parce que les constructeurs des deux pays ont des intérêts divergents, Bruno Le Maire, le ministre français de l’Économie et des finances, et Peter Altmaier, le ministre allemand de l’Économie et l’énergie, n’en sont pas moins persuadés que si l’Europe n’accélère pas en matière de véhicule électrique (VE) et de voiture autonome, elle sera balayée par la concurrence.

« Une des clés est la batterie industrielle, qui représente 30 % du coût final d’une voiture », rappelle Marc Mortureux, directeur général de la Plateforme automobile (PFA). Si Paris et Berlin ont décidé d’accélérer pour fabriquer ces produits, c’est que les Européens craignent d’être un jour prisonniers des Asiatiques, voire des Américains.

Que prévoit en l’état l’initiative franco-allemande ? Une ligne de fabrication pilote de batteries industrielles sous la conduite de Saft, filiale de Total, serait mise en place en France, peut-être avant la fin de l’année, puis une unité de production serait ensuite établie de chaque côté du Rhin. Soit un projet de 5 milliards d’euros au total, dont 1,2 milliard d’investissements publics.

Bruno Le Maire a annoncé 700 millions d’euros côté français et Peter Altmaier 1 milliard, mais pour toute série de projets automobiles, dont une partie réservée au projet commun. Au-delà, Paris et Berlin, voulant jouer leur rôle de moteur en Europe, caresseraient l’idée d’un géant européen, au minimum de rameuter autour d’eux d’autres capitales du continent.

Plusieurs questions se posent, selon Marc Mortureux. Face à des Asiatiques en avance et accélérés par une concurrence déloyale s’agissant de la Chine, peut-on résister ? Est-on également capable de mobiliser l’ensemble des acteurs autour d’un projet structurant ? Surtout que « la seule chose dont on soit sûr aujourd’hui c’est que les véhicules devront être propres », rappelait au Moci Claude Cham, président de la Fiev (Fédération des industries des équipements pour véhicules), lors d’un forum sur l’investissement, les 20 et 21 juin à Tunis.

S’agissant des technologies, il en est tout autrement. En ce qui concerne plus particulièrement les batteries, la tendance est de privilégier la technologie lithium-ion à électrolyte liquide. Une autre piste serait, toutefois, la batterie solide, qui serait à la fois moins polluante, plus compacte et donc plus sûre.

Quand le 22 mai 2018, Bruno Le Maire, au nom de l’État français, et ses collègues des Transports et de l’Écologie, Elisabeth Borne et, à l’époque, Nicolas Hulot, ont signé le contrat stratégique de la filière automobile 2018-2022 avec l’ensemble des acteurs réunis au sein du Comité stratégique de filière (CSF), l’engagement n’était pas seulement de quintupler les ventes de VE en cinq ans pour passer à 150 000.

Il s’agissait aussi de pousser l’État à accroître son effort financier pour que la filière puisse explorer les autres pistes que sont l’hydrogène et la batterie solide. Avant même la conclusion du contrat stratégique, Luc Chatel, qui préside à la fois le CSF et la PFA, indiquait l’importance de mobiliser toute la filière, petits comme grands, autour de projets structurants, tel que le VE et la voiture autonome.

L’ancien ministre de l’Éducation nationale, passé par l’Industrie comme secrétaire d’État, souhaitait créer un consortium autour des PSA, Renault, Valeo, SNCF ou RATP. Tous ne sont pas à ce jour engagés dans le projet franco-allemand de batteries industrielles. Des contacts seraient pris en Pologne et en Espagne et la Commission européenne se serait engagée à donner son feu vert à l’initiative conjointe d’ici octobre, c’est-à-dire avant la fin de son renouvellement.

Alors que la filière est confrontée à la fin du diesel, s’ajoute une disruption technologique qui impacte l’ensemble d’une filière, riche dans l’Hexagone de 4 000 entreprises et 400 000 emplois, représentant un chiffre d’affaires en 2017 de 155 milliards d’euros, dont 49 milliards à l’export. L’usine pilote de Saft emploierait 200 personnes, les deux lignes de production qui suivraient 1 500 chacune.

 

 

Construction navale/Sous-marins
La Team France Maritime en appui à Naval Group

 

Naval Group est comme un gros poisson, il a besoin de plus petits pour vivre. La comparaison pourrait paraître osée, elle ne l’est pas. En avril 2016, le groupe dirigé par Hervé Guillou, également président du Comité stratégique de filière (CSF) Industries de la mer et du Groupement des industries et construction et actives navales (Gican), a gagné un méga-contrat de 50 milliards de dollars, portant sur 12 sous-marins Shortfin Barracuda pour la Marine australienne devant être construits à Adelaïde.

Le projet devant comporter des transferts de technologie, le gros, Naval Group, n’avait d’autre choix que de construire un écosystème autour de lui avec de plus petits. Or, recourir à des équipementiers et des sous-traitants locaux ne pouvait suffire, faute d’une compétence avérée en Australie, surtout pour des sous-marins de dernière génération.

L’ex-DCNS travaille bien avec des entreprises australiennes, « mais sans accompagnement des PME françaises, ce serait impossible », précisait ainsi Michaël Croënne, directeur de la Coopération internationale du groupe français, lors de la présentation, le 11 juin à Paris, du guide sur « Les compensations industrielles », réalisé par le Conseil national des conseillers du commerce extérieur de la France (CNCCEF) et le Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas).

Un an plus tôt, le 21 juin 2018, avait été présenté chez Business France, à Paris, le programme Maritime Connection Days in Australia, associant, outre l’agence publique d’accompagnement, le Gican et les pôles Mer Bretagne et Région Sud (ex-Paca). Christophe Lecourtier était particulièrement légitime à en dévoiler les objectifs le contenu, puisqu’à l’époque où la Team Maritime Export l’a emporté le directeur général de Business France était l’ambassadeur de France en Australie (juillet 2014-juin 2017).

Le chantier ne devant pas démarrer avant 2022-2023 et le premier Barracuda ne devant en émerger que vers 2030, il fallait préparer équipementiers et sous-traitants français à s’immerger dans le contexte local (culture, législation), à s’implanter dès maintenant – à la fois une opportunité pour s’internationaliser et une obligation pour être prêt – en acquérant une connaissance des zones d’implantation. Ce pourrait être Adelaïde, mais aussi toute autre région où les représentants de la French Fab pourraient poser leur ancre avec des partenaires locaux, soit dans le cadre de coopérations ou dans le sillage de rachats. Les PME françaises étaient ainsi invitées à jeter un regard pérenne sur l’Australie et donc à y développer une stratégie au long cours.

C’est que la belle affaire empochée par Naval Group est un contrat sur le long terme. C’est un demi-siècle de coopération étroite qui s’ouvre aux antipodes pour la filière tricolore. « 50 ans de travail va nous permettre de fédérer et de créer des synergies entre nous », observait Michaël Croënne. Petits et gros poissons vont encore un peu plus de se rapprocher.

Le programme Maritime Connection Days in Australia s’est étalé entre le 24 septembre et le 2 octobre 2018. Quelque 25 candidats avaient été adressés par le comité de pilotage, composé de l’ensemble des institutionnels français (Gican, Business France, les pôles Mer…) de Naval Group et d’Austrade (Commission australienne du commerce et de l’investissement), à un jury australien, lui-même constitué avec Austrade et le réseau d’entreprises Industry Capability Network (ICN).

Huit entreprises de l’Hexagone ont été sélectionnées : Squad (cybersécurité), Adexflow International (informatique), Gérard Perrier Industrie (appareils électriques), Socitec (amortisseurs), Planitec (management de projet), Souriau (solutions de connexion), Sabella (turbines hydroliennes), Sofren (ingénierie, étude). Le choix a été effectué au moment du déplacement, du 1er au 3 mai 2018, du président Macron en Australie, « ce qui a été pour des PME un accélérateur de visibilité très apprécié et très important », confirme Antoine Hautin, directeur du Développement international de Squad et de sa filiale à Sydney.

Les huit PME et ETI ont ainsi été choisies « en fonction de leurs projets en matière d’exportation et d’investissement, de stratégie de développement avec ou sans Naval Group, enfin de leur savoir-faire dans les technologies et services », détaille Fernando Alves, conseiller Export chez Business France, chef du département Industrie-cleantech à Sydney.
Avant le déplacement en Australie, une formation a été adressée aux huit bénéficiaires du programme. « Il y avait une grosse partie de coaching, de culture, d’apprentissage de la négociation et du pitch à l’australienne, d’information sur la propriété intellectuelle et les contrats », relate Estelle David, chef du département Transports et infrastructures à Business France Paris. Sur place, les entreprises françaises bénéficiaient d’un programme de rendez-vous sur mesure. Après ce séjour de dix jours, une mission de suivi s’est tenue à l’occasion du salon Euronaval, du 23 au 26 octobre 2018 au Bourget.

Selon Fernando Alves, « quatre sociétés finaliseraient à l’heure actuelle la création d’une joint-venture ». Deux autres sociétés auraient déjà concrétisé (voir encadré ci-dessous). Et un deuxième programme Maritime Connection Days in Australia va être lancé avec dix sociétés : Aeroflex, Aris Services, Cotral Lab, eXcent, Ingénierie Industrielle, Groupe Idea Moteurs JM NSB Probent, Groupe Ponticelli Frères, Picardie Valves Industries, UnseenLabs.

Symboliquement, l’exposition internationale maritime Pacific 2019, du 8 au 10 octobre prochain à Sydney, marquera la fin du premier programme. Parallèlement seront lancés sur le terrain les bénéficiaires de la deuxième promotion, participants sur le Pavillon France monté par le Gican.

« Le suivi est crucial, il y a un besoin de relance, de nouveaux ciblages à effectuer, on ne va pas les lâcher jusqu’en avril 2020 », promet Fernando Alves. Une troisième promotion sera lancée, précise Estelle David, et peut-être même un quatrième. Tout dépendra alors des besoins de l’Équipe de France, du gros et des petits poissons.

 

Sabella, Socitec, Squad, trois projets à flot

Voici les résultats de trois entreprises qui ont bénéficié du programme Maritime Connection Days in Australia :

1. Sabella, spécialiste des hydroliennes sous-marines, a été retenu dans le cadre du Cooperative Research Centres (CRC) Program. Il s’agit donc d’un très vaste projet concernant d’autres secteurs, par exemple, l’aquaculture. Pour sa part, Sabella opère avec Australian Maritime College (AMC), un établissement d’enseignement supérieur établi à Launceston, en Tasmanie.

2. Socitec, leader mondial de l’amortisseur à câbles – et de loin : deux fois la taille du n° 2 américain – a renforcé sa notoriété internationale, alors qu’elle rachetait une pépite à Chicago active auprès de la Défense américaine. Cette société d’une quarantaine de salariés à Sartrouville (+ 40 à Sousse/Tunisie et une trentaine à Chicago), déjà présente en Australie et bien connue de Naval Group, va pouvoir « se renforcer », explique son président, Michel Albrecht. Le programme Maritime Connection Days lui a permis ainsi de prendre de nouveaux contacts, de développer son image, sa communication, et de participer aux travaux du Gican sur la sécurisation des données informatiques.

3. Squad, spécialiste de la cyber sécurité, classé en février par le Financial Times dans le Top 500 des 1 000 sociétés européennes avec la croissance la plus rapide, a trouvé des partenaires pour l’accompagnement sur place et un client. « En nous rendant sur place, nous avons pu choisir nos partenaires en fonction de nos besoins et de leurs spécialisations », se félicite Antoine Hautin, directeur du Développement international de Squad et de sa filiale à Sydney. Le français Altios a ainsi été retenu pour les volets établissement et comptabilité et ressources humaines. Pour les questions migratoires, a été choisi un cabinet spécialisé australien, qui lui a permis d’obtenir l’accréditation de la filiale, puis de déposer des demandes de visas. Quant au client, il s’agit d’un groupe de défense français, avec lequel Squad collabore aujourd’hui en France et en Australie. Fondée en 2012, la PME de 480 salariés qui opérait à 100 % dans l’Hexagone, non seulement rêve de s’étendre en Australie avec deux têtes de pont – Adelaïde et Sydney ou Melbourne – mais aussi d’attaquer de nouveaux marchés étrangers. 

 

 

Santé/Diabète
L’Equipe de France au cœur de la Chine

 

L’Équipe de la France de la Santé à l’export se porte de mieux en mieux. Et c’est sans doute le bienfait le plus notable dans l’immédiat de la publication du document de plus de 80 pages, intitulé « L’excellence des entreprises françaises au service des patients diabétiques », présenté pour la première fois lors du séminaire franco-chinois sur la lutte contre le diabète qui s’est déroulé le 29 juin à Pékin.

L’évènement était lui-même une innovation en Chine à ce niveau de responsabilité, puisqu’il était ouvert, côté chinois, aux directeurs généraux adjoints au bureau de la Prévention et du contrôle des maladies de la commission nationale de la santé, Lei Zhenglong, et du centre pour le Contrôle et la prévention des maladies, Li Xinhua.

« J’ai été agréablement surpris par la qualité des débats tant côté chinois que français. Des entreprises françaises ont pu ouvrir des discussions, peut-être certaines peuvent espérer des concrétisations. Et l’image de la France en sort renforcée, car nous avons montré notre capacité à chasser en meute, avec la coordination de l’ambassade », a rapporté au Moci, le 5 juillet, Éric Bouteiller, conseiller en entreprise, ancien directeur Chine, puis Asie d’Ipsen, et fondateur et ex-président du club Santé Chine.

La double opération – document « L’excellence des entreprises françaises au service des patients diabétiques » traduit en chinois + séminaire – a permis de rassembler autour de la Chinese Diabetes Society (CDS) toute la famille tricolore : le ministère de l’Europe et des affaires étrangères, promoteur de la famille de produits prioritaires à l’export « mieux se soigner » et propriétaire de la marque French Healthcare, l’association d’industriels éponyme French Healthcare, le ministère de l’Économie et des finances, à l’origine de la création du comité stratégique de filière (CSF) Industries de la santé, la Société francophone du diabète et, plus particulièrement s’agissant de la Chine, l’ambassade de France, le bureau de Business France et le club Santé Chine.

La veille du séminaire, le fédérateur de la famille prioritaire à l’export Jean-Patrick Lajonchère, également correspondant Export du CSF, rencontrait des responsables du CDS en compagnie de Christian Boitard, professeur de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Pendant l’évènement, Zhu Dalong, le président du CDS, a signé une lettre d’intention avec Charles Thivolet, vice-président de la Société francophone du diabète.

Avant le séminaire de Pékin, Jean-Patrick Lajonchère que Le Moci a rencontré à Paris, confiait qu’un « enjeu fort » était que « les institutionnels rencontrent les industriels et les académiques », que les « académiques rencontrent les industriels », et que l’on « franchisse une barrière mentale ». Le fait que « les différentes populations se côtoient », que « tout le monde adhère, de la recherche fondamentale, privée, publique, à l’industrie » étaient essentiels à la réussite de l’opération en Chine.

Le séminaire était soutenu par six grands noms de l’économie dans l’Hexagone : Air Liquide Healthcare, Evolucare, Servier, Urgo Medical, Sanofi, Axa. Les trois thèmes abordés (session 1. prévention et contrôle du diabète ; session 2. prise en charge, traitements et complications ; session 3. gestion sanitaire et parcours de soins) recoupaient évidemment les spécialités de la filière détaillées tout le long des 80 pages du document « L’excellence des entreprises françaises au service des patients diabétiques ».

« C’est une véritable cartographie que l’on y trouve », insistait Jean-Patrick Lajonchère, puisqu’y sont répertoriés toutes les spécialités, tous les savoir-faire tricolores de la prévention jusqu’au traitement du patient en passant par la gestion des complications. C’est le cabinet Junior Essec Conseil, mandaté par French Healthcare, qui a réalisé le document en faisant appel aux membres de l’association et aux adhérents d’autres institutions (Snitem, Leem, Medef International, Bpifrance…) souhaitant figurer dans le document. « Une trentaine de sociétés y sont ainsi présentes », se félicite Catherine Holué, déléguée générale de French Healthcare.

Chacune de ses entreprises y figure avec sa carte d’identité, comme ses performances à l’international. Parmi elles, de grands noms comme Sanofi et Servier, mais aussi une PME comme Toutenkamion, qui conçoit, fabrique et commercialise des unités médicales mobiles ou une start-up comme Hillo fondée en 2016 pour développer une plateforme de support à la décision.

Faire coïncider la tradition humaniste française et l’intérêt économique est un défi d’ampleur si l’on considère que dans le monde, les différents types de diabète touchent 422 millions de personnes et que 600 milliards d’euros sont dépensés chaque année pour traiter la maladie. De surcroît, 212 millions d’habitants de la planète ignoreraient qu’ils sont touchés par le fléau, dont 6,1 millions de Chinois non diagnostiqués.

François Pargny

Des projets dans cinq secteurs : agroalimentaire, bois, maritime, luxe, santé

Lors du Conseil national de l’industrie (CNI) International du 14 mai 2019, les 18 Comités stratégiques de filière (CSF) ont déposé leur « feuille de route à l’international ». Plusieurs projets ont ainsi été discutés à huis clos, dont Le Moci livre ici quelques lignes.
Agroalimentaire. Le CSF, dans une logique d’exportation collaborative, va monter cette année une Journée Export devant déboucher ensuite sur des actions concrètes. La filière est déjà consommatrice de Volontaires internationaux en entreprises (VIE). Une dizaine de membres de l’Association nationale des industries alimentaires (Ania) ont aussi signé une charte commune pour favoriser le partage d’informations et le parrainage d’entreprises à l’export.
Bois. Cette filière, dont le lien naturel entre secteur forestier et transformation reste à faire, souffre logiquement d’un déficit commercial très important, caractérisé par de fortes importations et de faibles exportations. Les Jeux olympiques d’été en France en 2024 pourraient être l’occasion de réduire ce déséquilibre en structurant l’offre et la filière au sein du CSF.
Industries de la mer. Le CSF travaille sur un programme d’action trisannuel d’opérations (salons, conférences…) et un outil de suivi de ceux-ci, en partenariat avec les acteurs de l’écosystème du commerce extérieur : Business France, direction générale de l’Armement (DGA), Cluster Maritime Français, pôles de compétitivité, Medef International
Mode et luxe. L’objectif est dans l’immédiat de renouveler une opération auprès des investisseurs nordiques avec l’appui de Business France.
Santé. Le CSF a annoncé le Congrès sur le diabète, une première qui s’est tenue en juin à Pékin. Après avoir présenté l’expertise et le savoir-faire français aux autorités sanitaires chinoises, des opérations similaires pourraient être envisagées dans l’oncologie et l’antibiorésistance. À cet égard, l’excellence française devrait être présentée au prochain salon Medica, du 18 au 21 novembre à Düsseldorf. 

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