Guide 2019 des formations au CI : le palmarès des programmes grandes écoles (PGE)

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La parole au n°1

Annabel-Mauve Bonnefous, directrice du PGE de Toulouse Business School

À Toulouse Business School, tous les étudiants du PGE obtiennent un double diplôme. « Avec l’une des 22 universités étrangères avec lesquelles nous avons noué un accord parmi nos 125 partenaires actifs, avec des universités (par exemple Science Po Toulouse) ou des écoles françaises d’ingénieurs, par exemple avec IMT Mines Albi ou en obtenant un master of science (MSc) délivré dans l’un de nos cinq campus, à Toulouse, Paris, Londres, Casablanca ou Barcelone », assure Annabel-Mauve Bonnefous, directrice du programme. Une garantie également apportée aux étudiants en alternance puisque l’ingénierie de cours a été conçue pour qu’ils puissent suivre un MSc. Les étudiants se voient également proposer un certificat « soft skills ».

« Tout au long des trois années de Grande École, nous développons les compétences des étudiants dans les domaines du leadership, du management d’équipe et du « complex thinking » et nous leur proposons un accompagnement personnalisé pour les aider à trouver la voie qui leur correspond. Ces compétences feront la différence lors de leur première embauche », détaille Annabel-Mauve Bonnefous. Autre élément fort du programme : une mission de conseil en mode projet, réalisée pour le compte d’une vingtaine d’entreprises. « Mis en position de consultants juniors, ils vont jusqu’à pitcher devant les clients. Cette mission de deux semaines est une façon de mettre en œuvre leur savoir-faire et leur expertise », poursuit Annabel-Mauve Bonnefous. Très fière du dynamisme de la vie associative (30 associations pour un budget d’1,5 million d’euros), la directrice du programme entend désormais davantage intégrer des associations dans la pédagogie.