Les accords de libre-échange (ALE) dits de nouvelle génération, type TTIP / TAFTA ou CETA, englobant non plus seulement les droits de douane mais aussi l’investissement, les normes ou encore les marchés publics, ont-ils vécu ? Certains le pensent.
Lors d’un séminaire sur les enjeux pour l’Europe de l’octroi du statut d’économie de marché à la Chine*, le 8 septembre, au Centre d’études prospectives et d’informations internationales (Cepii), François Godement a expliqué – sans les citer – que « certains États membres faisaient semblant de dire que l’avenir est aux économies de services et aux questions règlementaires et pas aux droits de douane ». Or, selon le directeur du programme Asie et Chine de l’ECFR (European Council on Foreign Relations), nombre d’États, notamment européens, prendraient conscience de la difficulté à conclure actuellement ces accords très ambitieux, qui dépassent donc largement le cadre purement commercial.
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 205
diffusée le 15 septembre 2016 auprès de ses abonnés
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