Europlasma : Europlasma, spécialiste du traitement et des déchets dangereux, de la valorisation matière et de la décarbonation, annonce dans un communiqué que sa filiale Les Forges de Tarbes a conclu un accord de coopération avec une entreprise publique ukrainienne filiale de JSC, Industrie de défense ukrainienne (équivalent de la Direction générale de l’armement en France), pour la fourniture de 60 000 pièces de gros calibre utilisées dans la fabrication des obus 155mm dès 2024 ; ce volume atteindra 120 000 pièces en 2026. Ce nouvel accord d’une durée minimale de trois ans, est subordonnée à l’obtention d’une nouvelle licence export. Elle conforte, selon Europlasma, la décision d’augmenter la capacité de production du site tarbais à hauteur de 160 000 pièces par an dès 2025.
Exail Technologies : le spécialiste français de la robotique autonome (systèmes complexes de drones, de navigation, ainsi que produits pour l’aérospatial et la photonique), Exail Technologies (ex. groupe Gorgé), vient d’annoncer une nouvelle commande aux États-Unis pour son drone marin de surface autonome DriX, promis à un bel avenir compte-tenu du développement de la demande, notamment lié à l’essor des parcs éoliens offshore et aux besoins croissant du secteur de l’hydrographie. Le client, dont il ne révèle pas le nom, est un groupe civil spécialisé dans les opérations en mer qui pourrait effectuer une seconde commande. « Il s’agit de la troisième commande de DriX en 2023, pour un total de près de 6 millions d’euros, sans compter les plus petites commandes préliminaires de démonstrations, telles que celle pour la marine américaine qui a eu lieu à Bahreïn au 1er trimestre 2023 » se félicite Exail dans un communiqué. La société a décidé de renforcer sa présence aux États-Unis grâce à la signature, le 15 juillet, d’un partenariat avec l’Université du New Hampshire (UNH), dans le cadre de la création d’un nouveau hub d’innovation, près de Boston. Il prévoit notamment la création d’un centre de contrôle à distance du DriX, des opérations de maintenance et des formations.
Dimotrans : déjà présent à Atlanta depuis 2013, Dimotrans Group a annoncé l’ouverture d’une nouvelle entité de sa filiale DT Project à Charleston, en Caroline du Sud. Le groupe français de transport et de logistique poursuit ainsi sa présence sur le marché nord-américain.
Ipsos : le groupe français parmi les leaders mondiaux des études de marché et sondages d’opinion, a annoncé le 17 juillet l’acquisition de l’activité Insights de la société australienne Big Village Australia, filiale australienne du groupe américain Big Village, qui couvre les études de marché dans le secteur public, les études de satisfaction des salariés et la mesure de l’expérience client. « Cette acquisition améliore la position d’Ipsos sur le marché australien et renforce ses capacités dans les secteurs gouvernementaux et les études sociales ainsi que dans l’expérience client et salarié, précise Ipsos dans un communiqué. Elle contribue également au plan de croissance 2025 d’Ipsos, en renforçant l’activité mondiale dans le secteur public » . Coté au marché Euronext Paris, Ipsos est présent dans 90 pays et compte près de 20 000 collaborateurs.
Euromaritime : le salon Euromaritime, qui se tiendra du 30 janvier au 1er février 2024 à Marseille, vient de lances un appel à candidature pour son espace « SEAnnovation », en partenariat avec l’incubateur Mind2Shake. Ouvert jusqu’au 6 octobre prochain, il s’adresse à toutes les startups développant des technologies d’avenir dans les domaines de l’économie bleue (transport maritime, ports, pêche, construction navale…). Les candidatures seront examinées par un jury d’experts et 15 startups seront sélectionnées pour exposer sur SEAnnovation, durant les 3 jours du salon. Pour consulter le cahier des charges et candidater, cliquez ICI.
Esigelec : le groupe d’écoles d’ingénieurs française Esigelec va ouvrir en septembre prochain un master of science en Mécatronique et génie électrique à Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire. De niveau Bac+5, il vise à former des ingénieur(e)s capables de maîtriser les systèmes complexes alliant mécanique, électronique, électricité, contrôle-commande et informatique industrielle afin de piloter, entretenir et sécuriser de grandes infrastructures de génie électrique (barrages, centrales de production, unités de production industrielle …). Il vise à répondre à la demande locale croissante de RH qualifiée dans ce domaine, alors que le pays s’est engagé dans d’important investissements pour développer ses capacités énergétiques.