Le ministre des Finances
algérien, Karim Djoudi, a confirmé que la priorité est donnée à la production
nationale, rapporte, le 8 juin, econostrum.info. D’où le maintien de l’interdiction du crédit à la consommation, qui profitait,
selon lui, surtout aux entreprises étrangères. La loi de finances
complémentaire (LFC) 2011 que vient de présenter le ministre prévoit une hausse
sensible des dépenses publiques, de fonctionnement et d’équipement, et donc un
fort déficit budgétaire.