Ce pays d’Europe centrale et
orientale de 21 millions d’habitants affiche des indicateurs macroéconomiques
au beau fixe. Souffrant d’une mauvaise réputation mêlant corruption,
bureaucratie et production low cost, la Roumanie est pourtant un marché prometteur pour
les exportateurs et investisseurs français.
Terre
de sous-traitance et de sourcing, en particulier dans l’automobile, la
mécanique, le mobilier, le textile et l’informatique, la Roumanie bénéficie
d’avantages comparatifs non négligeables. Le salaire minimum n’est que de 162
euros, le pays compte 6 millions de francophones, la main-d’œuvre a la
réputation d’être bien formée et la fiscalité y est très modérée. L’impôt sur
le revenu et celui sur les sociétés sont de 16 % ! Reste que la Roumanie n’est pas
seulement un atelier. Elle est également, et de plus en plus, un marché de
consommation.
Le sommaire de cette enquête parue le 25 mai 2012 est le suivant :
Les opportunités d’affaires en Roumanie ;
Réglementation : tout ce qu’il
faut savoir pour exporter et investir. Les formes d’implantation,la sécurisation des
relations contractuelles d’export vers la Roumanie, l’investissement immobilier, une
fiscalité encore douce, le droit du travail et le droit social, le potentiel
d’investissement : secteurs porteurs ;
Une partie pratique : contacts utiles, avocats d’affaires francophones, sources d’information Internet, salons, missions et rencontres 2012).
A acheter en ligne :
Numéro du 24 mai 2012 : « Roumanie,
un marché en devenir »