Les notes des différentes institutions et différents prestataires se passent de tout commentaire, le risque turkmène est élevé. Sa note de risque politique a été dégradé de 6 à 7 (note maximum) par l’OCDE.
Compte tenu de la difficulté, voire de l’impossibilité de recueillir des informations fiables sur les entreprises locales, mieux vaut sécuriser un maximum les opérations. Il est aussi recommandé de tenir compte de la quasi-inefficacité du système bancaire et de la lenteur administrative en matière d’émission de crédits documentaires, ainsi que de la très forte exposition au risque de non-transfert (6/7) selon le classement de Credendo à novembre 2022.
En risque commercial, ce même organisme côte d’ailleurs le pays G, soit la plus mauvaise note.
Ce marché est considéré comme l’un des plus mauvais risques pour les exportateurs si les opérations ne sont pas sécurisées.