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Accueil Actualités

Qatar / Export : toujours de réelles opportunités, malgré le blocus régional

Par Christine Gilguy
Publié il y a 6 ans
Dans Actualités, L'Info Export
Temps de lecture : 5 mins read
Ça bouge ? Qui ? Où ? (gratuit)

Coup sur coup en décembre 2018, le Qatar a enregistré trois bonnes nouvelles : la première, au début du mois, est venue de l’agence de notation Standard & Poor’s, qui a confirmé ses notes de crédit souverain AA-/A-1 + à long et à court terme, tout en relevant ses perspectives de négative à stable. Puis ce fut le succès de la 18e édition du Forum international de Doha qui a accueilli, le 15 décembre, une vingtaine de chefs d’État et de gouvernement. Enfin, troisième bonne nouvelle, la Roumanie, qui prendra la présidence de l’Union européenne (UE) le 1er janvier, vient de proposer l’organisation d’une conférence internationale pour mettre fin au conflit entre le Qatar et trois de ses voisins  – Arabie saoudite, Émirats arabes unis, Bahreïn – et l’Égypte, qui reprochent notamment à Doha sa proximité avec l’Iran, rival régional du grand Royaume de la dynastie Al-Saoud.

Les infrastructures pour le Mondial de foot

Le  succès relatif du Forum de Doha, où l’on comptait des participants de l’Asie, continent qui absorbe une grosse part du gaz de l’émirat, ainsi que l’offre de la Roumanie prouvent que le Qatar n’est pas isolé, ni économiquement, ni politiquement. Depuis juin 2017, l’Arabie saoudite et ses alliés imposent un embargo sur le Qatar « sans succès », constate ainsi Georges Sioufi, associé fondateur du cabinet SRDB. Ce dernier ouvre d’ailleurs à Doha un bureau chez  son partenaire Al-Thani Law Firm, pour offrir des services juridiques aux sociétés étrangères désirant s’implanter sur place.

Dans le tourisme, notamment l’hôtellerie 3 étoiles, mais aussi dans l’ingénierie ou la construction d’infrastructures, comme le port Hamad, la plateforme d’importations à une heure environ de Doha, les opportunités sont réelles. Dans sa dernière revue en date du 7 décembre 2018, Standard & Poor’s remarque que pour diversifier son économie et préparer la Coupe du Monde de football en 2022, le Qatar a présenté une feuille de route sur 10 ans (2015-2024) avec des montants considérables : environ 125 milliards de dollars entre 2015 et 2019 et 98 milliards entre 2020 et 2024 sont ainsi annoncés.

En raison de l’embargo, le tourisme est en berne, le nombre de visiteurs ayant plongé de 20 % l’an dernier. Pour stimuler le secteur et le transport aérien dans ce contexte, les visas d’entrée dans le pays pour 80 nationalités ont ainsi été supprimés.

Des ambitions fortes dans le tourisme

Par ailleurs, après le Mondial, le Qatar entend devenir un centre régional dans ce domaine. D’où le développement d’infrastructures et de sites, qui n’ont dans la région d’équivalent qu’à Dubaï, comme l’île artificielle de Banana Island, à 20 minutes de Doha. Au printemps prochain, sera également ouvert le Musée national du Qatar, une rose des sables en fibre de béton de 350 m de long, conçue par Jean Nouvel.

L’objectif fixé par Doha dans le projet national de développement du tourisme est de doubler le nombre de visiteurs en cinq ans. Pour y parvenir, l’émirat a promis la création d’une plateforme en ligne pour un traitement efficace et transparent des demandes de visas, la délivrance de visas électroniques et la gratuité d’un visa de transit de 96 heures qui permet de doubler le temps pendant lequel les passagers en correspondance peuvent rester dans le pays.

Dans son dernier classement, rendu public en septembre, l’Organisation mondiale du tourisme classait ainsi le Qatar à la huitième place du classement mondial des régimes de visa d’après leur degré d’ouverture, au lieu du 177e rang en 2014.

Des efforts d’ouverture du cadre des affaires

Premier producteur de gaz au monde, le Qatar ne manque de moyens financiers, ce qui n’empêche pas des tensions de trésorerie liées aux dépenses considérables engagées : aux investissements dans la Coupe du Monde, s’ajoutent en effet les aides apportés à la Turquie et l’Iran, qui le soutiennent dans son bras de fer avec ses voisins. « Au final, il y a des retards de paiement, qui touchent des sociétés privées de construction, qui travaillent en sous-traitants de l’État », observe Georges Sioufi.

Ces difficultés conjoncturelles ne remettent pas en cause des perspectives jugées très favorables par les observateurs économiques. Selon le Fonds monétaire international, la croissance économique du petit émirat gazier dépassera les 3 % en 2019, avant de se stabiliser autour de 2,7 % entre 2020 et 2023.

« En outre, Doha modernise son Centre international de conciliation et d’arbitrage du Qatar (QICCA) pour améliorer l’environnement des affaires et garantir, comme à Dubaï et toutes les grandes capitales européennes, un cadre juridique sécurisé. Il est ainsi tout à fait possible pour une entreprise étrangère de désigner un arbitre international et non pas local », souligne Georges Sioufi.

Par ailleurs, un projet de loi sur les investissements directs étrangers (IDE) devrait permettre, comme en Arabie Saoudite, aux entreprises internationales de détenir des actifs à 100 %. Aujourd’hui, elles doivent se contenter de 49 % dans une société commune avec 51 % d’intérêts locaux. « Il y a aussi sur la table un projet de loi sur le statut d’agent d’affaires. Quand posséder 100 % d’une entreprise sur place sera autorisé, il vaudra mieux continuer à travailler avec un homme d’affaires qatari familier des appels d’offres et du droit des affaires », conseille Georges Sioufi.

Le gaz, un « allié » sûr pour le budget et l’export

Enfin, Standard & Poor’s estime que le Qatar, « le plus grand exportateur de gaz naturel liquide », doté de « la troisième plus grande réserve de gaz naturel prouvée au monde (852 millions milliards de pieds cubes) », va pouvoir tenir « plusieurs décennies de production aux niveaux actuels ».

L’agence de notation observe notamment que le moratoire sur le gisement North Field, partagé avec l’Iran, a été levé. Qatar Petroleum a ainsi attribué un contrat à la compagnie d’ingénierie japonaise Chiyoda Corporation dans le but de faire passer la production de gaz naturel liquéfié (GNL) de 77 à 100 millions de tonnes. Le gouvernement a également prévu d’augmenter les exportations de gaz d’environ 40 % à 110 millions de tonnes par an d’ici 2023-2024.

Bien que le cours du brut soit très bas à l’heure actuelle, autour de 50 dollars le baril, Standard & Poor’s est confiant. L’agence estime que Doha peut « gérer avec succès les retombées du boycott ». Avec des prix du baril au-dessus de 51 dollars, les comptes extérieurs du Qatar pourraient même continuer à dégager des excédents.

François Pargny

 

 

 

 

 

 

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