Le discours du roi Mohammed VI pour une Constitution démocratique au Maroc, le 17 juin,
est jugé « insuffisant » par les manifestants du Mouvement du 20
février
et « historique », selon Alain
Juppé, ministre des Affaires étrangères de la France, qui salue l’annonce des
réformes, rapporte, les 18 et 19 juin, lemonde.fr.
En particulier, le Premier ministre marocain, issu du parti arrivé en tête aux
élections, disposera de pouvoirs renforcés. Le souverain restera, toutefois, le
Commandeur des croyants.