9 avril
Au quai d’Orsay : la première Journée
Quai d’Orsay Entreprises organisée par la Direction des entreprises et de l’économie internationale du
ministère des Affaires étrangères proposait une affiche de haut vol, mêlant responsables politiques et institutionnels, hauts fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères et de la DG Trésor, diplomates et chefs d’entreprises pour un
programme ultra serré de huit tables rondes, dans les salles et salons de l’hôtel du ministre, conclu par deux poids-lourds
du gouvernement, Pierre Moscovici et Laurent Fabius. Voici de quoi enrichir vos carnets d’adresse :
Sur la table ronde «Grands
émergents, néo-émergents », modérée par Pierre-Antoine Gailly, Président de l’Uccife et de la CCI Paris-île de France (seul modérateur extérieur au MAE), intervenaient Martine
Aubry, représentante spéciale du ministre pour le partenariat avec la Chine, Ramon Fernandez, directeur
général du Trésor, Gérard Mestrallet, P-dg de GDF-Suez, Nicolas Dimitrieff, président du groupe CNIM.
Sur
la table ronde « Régulation
européenne et normes internationales », modérée par Jean-Baptiste Mattei, DG de la mondialisation, du développement et des partenariats du MAE, étaient présents Pascal Faure, DG de la Compétitivité, de l’industrie et des services au ministère du Redressement productif, Claude Revel, auteure du rapport « Développer une influence normative internationale stratégique pour la France », Philippe Etienne, représentant permanent de la France auprès de l’UE et Pascale Sourisse, DG développement
international, Thalès.
Sur la « politique
de développement et les entreprises », sont intervenus Adeline Lescanne-Gautier,
DG de Nutriset, Dominique Lafont, président de Bolloré Africa
Logistics, Dov Zerah, DG de l’AFD et Lionel Zinsou, président de PAI Partners.
Sur « l’appui à
l’innovation technologique », intervenaient Frédéric Bouilhaguet, président Resonate
MP4, Antoine Mynard, attaché pour la science et la technologie au consulat général de boston, Agnès Paillard, présidente du pôle Aerospace Valley, Dominique Restino, vice-président de la CCI de Paris et président de l’institut du mentorat entrepreneurial, Alain Rousset, président de la Région Aquitaine et de l’ARF.
Le sujet des « accords de libre-échange de l’Union
européenne »
a été abordés par Louis Schweitzer, représentant spécial du ministre
pour le partenariat avec le Japon, Jean-Luc Demarty, directeur de la DG
Commerce de la Commission européenne, Etienne Oudot de Dainville, de la DG Trésor, Ginette Hénaff, directrice des relations internationales de Jean Hénaff SA et Clara Gaymard, présidente de GE France.
Celui des «investissements internationaux »
a vu intervenir Cécile André-Leruste, élu de la CCI Paris Île de France et associée de Roland Berger Strategy Consultants, Alain Crozier, président de Microsoft France, Jean-François Girault, directeur Afrique du nord/Moyen-Orient du MAE, David Appia, Président
de l’AFII, François Delattre, ambassadeur de France aux Etats-Unis.
Le
thème « Diplomatie économique et
développement urbain durable » a été discuté par Sophie Boissard, DG déléguée Stratégie et
développement SNCF, François Richier, ambassadeur de France en Inde, Michel
Tesconi, P-dg de Citelum, Henri Baissas, DG adjoint d’Ubifrance et Maryse Bossière, directrice Amériques et Caraïbes du MAE.
Et celui de «vivre
à l’étranger : expatriation, sécurité, éducation, visas » a vu intervenir Jérôme
Douat, président du groupe Vergnet, Hubert Loiseleur des
Longchamps, directeur des affaires publiques et internationales de Total, Olivier Boasson, directeur adjoint de l’AEFE, François Saint-Paul, directeur des français à l’étranger et de l’administration consulaire du MAE.
A Bercy : à défaut de diriger la Banque publique d’investissement, Anne Lauvergeon
prendra la direction d’une nouvelle commisssion dénommée « Innovation 2030 »,
placée sous l’égide du ministre du Redrressement productif Arnaud Montebourg et
de la ministre déléguée chargée des PME, de l’innovation et de l’économie
numérique Fleur Pellerin. Selon le communiqué de Bercy, composée d’industriels,
de scientifiques et de représentants de la société civile, cette commission
devra proposer au gouvernement d’ici à l’été les secteurs et les technologies
où la France
est susceptible d’occuper des positions de leader à l’horizon 2030. Un
concours d’innovation doté de 150 millions d’euros sera ensuite lancé pour
chaque « défi industriels » retenu par le gouvernement, ouvert à
toutes les catégories d’entreprises.
A Paris : le Syndicat des énergies
renouvelables (SER) et le Groupement des industries de construction et activités navales(GICAN)
ont recensé près de 130 entreprises, PME, ETI et grands groupes, dans
le premier annuaire de la filière française des énergies marines. » La
France possède le
deuxième espace maritime au monde, avec 11 millions de km² et des
milliers de
kilomètres de côtes réparties sur quatre façades maritimes « , rappellent
dans un communiqué le SER et le GICAN, qui demandent » un soutien
économique à la hauteur » des ambitions, la » simplification des
procédures d’autorisation » et une meilleure » anticipation » sur le
zonage le raccordement des
parcs. L’annuaire sera distribué lors
de la convention internationale THETIS EMR, les 10 et 11 avril prochains à
Brest, à l’occasion d’un point presse qui se tiendra le 10 avril à 9h15, salle
« Meeting Room ». Il est téléchargeable sur le
site du SER (www.enr.fr,
rubrique
Médiathèque/publications) et sur celui du GICAN
(www.GICAN.asso.fr) et téléchargeable en
cliquant ici.
8 avril
A Luxembourg : La Banque européenne d’investissement (BEI) octroie un prêt de 120 millions d’euros à la réalisation du tunnel de Fréjus, un projet transfrontalier jugé prioritaire par la BEI pour bâtir le réseau de transport trans-européen (RTE-T),
» dont l’objectif est de développer un maillage européen d’infrastructures
efficaces et durables « , explique-t-on à Luxembourg. Le prêt doit permettre » d’accroître la sécurité » dans le tunnel.
6 avril
En Italie : Pour relancer l’économie, pourquoi ne pas commencer par régler la dette publique intérieure ? C’est une solution que n’hésite pas à utiliser le chef du gouvernement Mario Monti, qui annonce, à l’issue d’un conseil des ministres le 8 avril, que l’Etat italien va régler, dans les douze prochain mois, quelque 40 milliards d’arriérés de paiement à ses fournisseurs. Le gouvernement a adopté un décret urgent pour donner ce ballon d’oxygène à l’économie italienne. Réputé très mauvais payeurs, l’Etat italien affiche un montant cumulé d’arriérés de paiement parmi les plus élevé de l’UE, soit plus de 80 milliards d’euros fin 2011 selon des chiffres cités par Mario Monti lors d’une conférence de presse. Une situation « légèrement pire » que le Portugal, l’Espagne ou la Grèce, selon lui…
4 avril
En Chine, à la CCIFC : Annick de Kermadec-Bentzmann, directrice générale
de la succursale de BNP Paribas Shangaï, a passé la main à Olivier Guibert,
président de Thales Asie du Nord, à la présidence de la Chambre de commerce et d’industrie
française en Chine (CCIFC), annonce la
CCIFC sur son site Internet. Cette banquière d’origine franco-chinoise
de 66 ans, née à Pékin, qui parle
couramment le mandarin, est l’une des femmes d’affaires françaises vivant en Chine
depuis le plus longtemps. Elle a été élue présidente d’honneur de
l’institution qu’elle a contribué à créer en 1992 et qu’elle présidait depuis
2005. Elle demeure membre du China
Advisory Council de
la Commission
européenne.
Le nouveau bureau national de la CCIFC compte également,
parmi ses membres : Christophe Lauras, directeur régional Chine du
Sud du groupe Sofitel (trésorier national) ; Olivier Dubuis, UGGC Avocats (vice
président Shanghai) et Joël Pujol, d’Orest (vice Président Canton) ; Bruno
Gensburger, Sanofi, et Alexandre Lévy, Chinexpansion (Pékin) ; Emmanuel Gros, B&A (Shangai) ; Christophe Lauras, Sofitel (Canton);
Thierry Labarre, Mazars (Pékin) ; Bruno Gaffier, Moria (Sgangai)