[Article partenaire] Filiale du groupe BPCE, le cabinet de conseil Pramex International, présent dans 17 pays, accompagne depuis plus de 40 ans les PME et ETI dans leurs projets d’expansion internationale, qu’il s’agisse de croissance organique ou d’acquisitions. À Madrid, où il est implanté, Pramex s’appuie sur une équipe aux profils résolument multiculturels pour guider les entreprises françaises dans un marché à fort potentiel, mais qui requiert des clés de lecture locales.
Un marché incontournable pour les entreprises françaises
Avec près de 200 000 Français établis en Espagne et une place dans les premières destinations d’implantation des sociétés hexagonales, l’Espagne s’affirme comme un marché de proximité stratégique (avec plus de 3000 entreprises employant 40 000 personnes). Les deux économies sont fortement interdépendantes, portées par les directives européennes communes, des échanges commerciaux solides et une monnaie commune.
« L’Espagne n’est pas seulement une opportunité conjoncturelle : c’est un marché durable », souligne Diego Daccarett, directeur de Pramex Espagne. Le dynamisme économique y reste soutenu (près de 3,2 % de croissance contre 1,1 % en France en 2024), attirant un nombre croissant de projets à Madrid.
Les secteurs les plus porteurs
Si l’Espagne conserve une base industrielle solide et demeure une puissance touristique majeure, plusieurs secteurs suscitent un intérêt croissant des investisseurs français :
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services aux entreprises, notamment conseil et ingénierie,
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technologies et numérique,
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énergies renouvelables,
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production audiovisuelle,
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et surtout l’exportation de services d’ingénierie.
Selon Pramex, ces domaines représentent aujourd’hui les implantations les plus fréquentes des entreprises accompagnées.
Une fiscalité et des coûts compétitifs
L’Espagne séduit également par son coût du travail inférieur à celui de la France.
Le coût horaire moyen s’élève à 25,9 € contre 44,4 € en France, avec des charges sociales d’une moyenne de 31 %, bien inférieures aux 40 à 50 % constatés dans l’Hexagone. Les salaires sont plus bas, mais l’économie espagnole impose des contraintes sociales et RH similaires à la France, nécessitant un accompagnement précis pour en maîtriser les subtilités.
Quel cadre juridique choisir ?
Pour une implantation, le choix se porte dans la quasi-totalité des cas (99 %) sur la SL (Sociedad Limitada), l’équivalent de la SARL française. Cette forme, souple et largement plébiscitée, correspond aux besoins de la majorité des PME et ETI.
Des spécificités locales à ne pas négliger
Mais s’implanter en Espagne ne s’improvise pas. Le pays est composé de 17 communautés autonomes, disposant de réglementations et d’usages parfois différents. Une stratégie nationale doit souvent être adaptée aux réalités régionales, en particulier lorsqu’il s’agit de marchés publics.
Côté ressources humaines, certaines pratiques divergent également : horaires estivaux aménagés, les benefits, absence de statut cadre, importance d’accompagner les recrutés pour leur donner les moyens de réussir. Dans ce contexte, l’appui d’un partenaire local s’avère crucial.
Une approche multiculturelle au service des PME
L’atout de Pramex à Madrid réside dans son équipe aux profils internationaux (franco-espagnols, francophiles, belges, expatriés), capable de conjuguer vision multiculturelle et maîtrise des contraintes locales.
« Avant même la création d’une filiale, nous apportons un regard international et pragmatique, nourri de notre appartenance au groupe BPCE et de notre expérience terrain », résume Diego Daccarret. Une philosophie qui fait de Pramex un allié de confiance pour les PME françaises désireuses de s’implanter sur un marché espagnol à la fois proche, accessible et riche en perspectives.
Pour joindre Diego Daccaret :
– Email : [email protected]
– Tel : +34 656 889 950
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