Les fonds souverains arabes ont refusé d´aider les banques américaines dans lesquelles ils avaient investi.
Ainsi, l´ADIA d´Abou Dhabi, pourtant premier actionnaire de Citigroup, n´a pas participé à son sauvetage. Le koweïtien KIA, gros investisseur dans Merrill Lynch, n´a pas répondu aux appels du repreneur, Bank of America.
Seule Barclays a pu céder 31,8% de son capital à un prince d´Abou Dhabi et au fonds souverain du Qatar mais pas à des conditions avantageuses.