La compagnie pétrolière nationale de l´Equateur, Petroecuador, a annoncé le 16 juillet dernier qu´elle avait pris le contrôle des opérations de Perenco. L´entreprise pétrolière française avait tenté de suspendre sa production de brut pour contourner les saisies des autorités équatoriennes. L´Equateur réclame près de 350 millions d´euros d´arriérés d´impôts et place sous embargo depuis le 4 mars 70 % de la production équatorienne de Perenco, estimée à 22 000 barils par jour.