Dubaï au bord de la faillite, Pékin se frotte les mains

Les difficultés dubaïotes pourraient servir les intérêts chinois. C’est du moins ce qu’a clairement laisssé entendre Ji Xiaonan, le chef du conseil de surveillance de l’administration chargée de gérer les actifs de l’Etat chinois (la Sasac), cité par l’Economic Information Daily du 30 novembre. « Cela pourrait être une occasion d’investissement pour la Chine qui utliserait une partie de ses réserves de change pour acheter des réserves de pétrole et d’or », a-t-il confié au quotidien chinois. Les réserves de change chinoises s’élèvent à 2 272,6 milliards de dollars.