Sans résoudre le problème de la compétitivité-prix des offres industrielles lorsqu’elle se pose (voir ci-dessus), c’est dans ces cas où l’offre financière est moins attractive que celle de la concurrence que la BPI pourrait apporter sa pierre en France.
Et c’est là que l’on retrouve l’ancienne BFCE : celle-ci, entre autres, cofinançait les crédits export avec les banques commerciales, dans le cadre de montage où elle prenait en charge les échéances les plus longues, les banques commerciales prenant les plus courtes. Une option qui aurait d’ailleurs la préférence des banques françaises.
D’autres options sont toutefois sur la table, les pratiques des pays concurrents étant regardées à la loupe par Bercy […]
La suite de l’article est dans La Lettre Confidentielle du Moci N° 28 du 4 octobre