Euler Hermes, n° 1 mondial de l’assurance-crédit, devient Allianz Trade, marquant la dernière étape d’une intégration au sein de sa maison-mère le groupe Allianz entamée en 2018…
Ce changement marque, selon un communiqué de l’assureur-crédit, « un nouveau chapitre de notre histoire », mais aussi une « évolution naturelle, étant donné que nous faisons pleinement partie du Groupe Allianz depuis 2018 ».
Spécialiste de l’assurance-crédit et des cautions, pour le marché domestique et à l’international, le groupe, dont les racines en France sont fortes (Euler-Sfac, acteur historique du marché français, racheté par Allianz en 1998) est aujourd’hui présents dans 52 pays, avec plus de 5 500 collaborateurs. Il s’agit de bénéficier de toute la force de frappe du géant allemand de l’assurance qu’est Allianz.
« Nous sommes désormais Allianz Trade. Qu’est-ce que cela signifie pour notre entreprise, nos clients et nos employés ? En un mot : plus, assure Clarisse Kopff, CEO d’Allianz Trade (notre photo), dans le communiqué. Une plus grande connaissance et expertise internationale, permettant de développer plus de solutions locales. Plus de confiance en l’avenir avec plus d’opportunités d’aider les entreprises à se développer. Des services plus prospectifs et plus personnalisés. Une plus grande capacité à nous adapter aux mutations technologiques. Plus de visibilité pour attirer de nouveaux talents, et de nouvelles opportunités de carrières pour nos collaborateurs. Ce qui nous attend est très excitant, et nous commençons à peine à en explorer toutes les possibilités ».
La dirigeante espère notamment que ce nouveau nom soutiendra la mise en œuvre de son plan stratégique à horizon 2025, qui vise la croissance sur l’ensemble de ses lignes d’activités et implantations géographiques, et repose sur trois piliers : renforcer son leadership sur son cœur de métier, l’assurance-crédit ; accélérer le développement des activités dites « relais » de croissance, en particulier les cautions, garanties et les solutions de spécialités (Transactional Cover Unit & Excess of Loss) ; enfin préparer l’avenir, et notamment la transformation des échanges commerciaux, notamment développement du commerce B2B en ligne, et « devenir un acteur clé de ce nouvel écosystème ».