En cinq ans, les investisseurs ont mis la main sur 2,41 millions d´hectares en Ethiopie, au Ghana, au Soudan, à Madagascar et au Mali. C´est ce qui ressort de l´analyse publiée aujourd’hui par les experts de l´Institut international de l´environnement et du développement (IIED). Ce rapport appelle à plus de transparence dans les transactions et une meilleure consultation des populations. Mais l´institution souligne également la possibilité pour ces pays de moderniser ainsi leur agriculture.