C’est la phrase de Justin Trudeau sur l’accord de libre-échange entre son pays et l'Union européenne (UE) qui a fait sans doute le plus de « buzz » dans la presse économique et sur les réseaux sociaux : « si la France ne parvient pas à ratifier l’accord avec le Canada, avec quel pays imaginez-vous pouvoir le faire ? », a ainsi lancé le Premier ministre canadien aux députés français qui le recevaient dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale le 17 avril, une première dans l’histoire des deux pays, en présence du chef du gouvernement français Edouard Philippe et de plusieurs ministres dont Jean-Yves Le Drian, le patron du Quai d'Orsay et son secrétaire d'Etat Jean-Baptiste Lemoyne.
Il venait de leur délivrer, à l’issue d’un discours de près d’une heure saluant la force des liens et du partenariat entre les deux pays, un véritable plaidoyer pour ce qu’il appelle un « commerce progressiste », dont l’Accord économique et commercial global (AECG) - CETA (Comprehensive economic and trade agreement) pour l’acronyme anglais-, est à ses yeux un exemple...
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 280
diffusée le 19 avril 2018 auprès de ses abonnés
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