[Article partenaire] Les exportateurs de produits surgelés et réfrigérés font face à un défi grandissant : maintenir une chaîne du froid irréprochable alors que les temps de transit s’allongent, parfois de plusieurs jours, en raison des tensions géopolitiques, des congestions portuaires et de la rareté des infrastructures adaptées. Ce phénomène touche aussi bien le fret maritime que le transport aérien, et impose des outils de suivi fiables ainsi qu’une vigilance sans faille.
Des produits d’exception qui exigent l’excellence
Kelvin Solutions accompagne des exportateurs de produits alimentaires haut de gamme, expédiés depuis Rungis et d’autres plateformes vers des hôtels et restaurants de prestige dans le monde entier.
Produits laitiers de Bulgarie, pastéis de nata du Portugal, pommes de France ou encore pains et viennoiseries artisanales surgelés : tous partagent la même exigence – garantir que le produit arrive dans un état impeccable.
Ici, pas question de vérifier “seulement en cas de doute” : chaque enregistreur est lu systématiquement, même quand le transport s’est déroulé sans incident apparent. Cela permet à la fois de confirmer que la température a été respectée et de disposer d’une preuve objective en cas de contrôle ou de litige.
Le surgelé par avion : la précision d’une mission pharmaceutique
Dans le transport aérien, certains produits surgelés voyagent avec de la glace carbonique (CO₂ solide). Cette solution maintient des températures très basses, mais implique des contraintes proches de celles du secteur pharmaceutique :
– Quantité de glace limitée par colis et par expédition
– Procédures de sécurité spécifiques
– Respect strict des normes IATA
Une mauvaise gestion de la glace carbonique peut compromettre le produit bien avant son arrivée. Suivi précis et documentation sont donc essentiels pour prouver la conformité.
Des routes plus longues, des risques accrus
Entre réacheminements maritimes, attente au canal de Suez ou de Panama, et files d’attente portuaires, un voyage qui durait 20 jours peut désormais en prendre 25… voire plus.
Autre contrainte : dans certains ports, le nombre de prises électriques est insuffisant pour alimenter tous les conteneurs frigorifiques. Les opérateurs procèdent alors à des rotations – débrancher un pour brancher un autre – au risque de voir la température grimper.
Dans ces situations, l’enregistreur de température devient l’arbitre ultime : il enregistre minute par minute ce qui s’est réellement passé.
Des outils pensés pour les réalités du terrain
Certains modèles, comme l’Innolog Pro, offrent des fonctions précieuses :
– Durée par défaut de l’enregistrement : 110 jours
– Rapport PDF protégé par mot de passe (option): seul l’expéditeur peut consulter les données, garantissant la confidentialité.
– DRM – Data Recovery Memory : enregistrement “fantôme” toutes les heures même si l’appareil n’a pas été démarré. Une sécurité qui a déjà sauvé plus d’une expédition oubliée.
Chaque appareil est unique, avec un numéro de série à reporter sur les documents de transport. Cette identification simplifie le rapprochement entre un lot et son rapport.
La donnée comme argument commercial
Dans certaines transactions, le rapport de température est la clé du paiement.
Face à une réclamation, un exportateur peut lever toute ambiguïté en présentant un enregistrement irréprochable. À l’inverse, un rapport qui montre une excursion permet d’identifier la responsabilité et de négocier rapidement.
Le cloud comme colonne vertébrale
Pour centraliser, analyser et partager les données, Kelvin Solutions déploie un Cloud interopérable avec Verigo et d’autres systèmes.
Cette plateforme permet :
– L’archivage automatisé des rapports
– L’extraction rapide de statistiques
– L’identification de routes ou points critiques récurrents
En capitalisant sur l’historique, les exportateurs peuvent anticiper les risques et optimiser leurs choix logistiques.
Un standard qui s’installe
Comme le code-barres ou le paiement sans contact hier, la traçabilité devient un standard incontournable.
Dans certains pays, les importateurs imposent un enregistreur à chaque expédition, allant jusqu’à fournir eux-mêmes les appareils à leurs fournisseurs. Kelvin Solutions expédie ainsi des enregistreurs partout dans le monde pour des importateurs qui veulent tout contrôler, du départ à la réception.
Et l’USB ?
Pour l’instant, il reste le standard : robuste, simple et économique. Mais l’évolution est amorcée. Les prochains modèles intègreront des transmissions automatiques, Bluetooth ou autres protocoles sans fil, directement vers le cloud. Une mutation progressive qui viendra compléter, et non remplacer brutalement, l’USB.
Avec des temps de transit rallongés, des contraintes réglementaires plus strictes et des infrastructures parfois insuffisantes, l’enregistreur de température devient un outil stratégique. Il ne sert pas seulement à mesurer : il prouve, protège et négocie.
Qu’il s’agisse de surgelés pour un hôtel 5 étoiles en Asie, de pâtisseries vers l’Amérique ou de fruits vers l’Afrique, la règle reste : mesurer, documenter, analyser… et améliorer.
Vous expédiez des produits sensibles ? Parlez-en avec Kelvin Solutions qui vous aidera à choisir les outils et la méthode adaptés pour que votre chaîne du froid reste intacte… jusqu’à la dernière minute.
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