Afin de favoriser les entreprises algériennes, le nouveau Code des marchés publics, adopté par le Conseil des ministre algérien le 11 juillet, prévoit que la marge maximale de préférence en faveur des entreprises dont la capital est majoritaiement algérien passe de 15 % à 25 %. En outre, obligation est faite au contractant de recourir à un appel d’offres exclusivement national quand l’outil de production local peut satisfaire ses besoins. Concernant les appels d’offres itnernationaux, les entreprises étrangères seront dans l’obligation de conclure un partenariat d’investissement avec une entreprise algérienne.