Économie
Afrique du Sud
Informations générales
Population (2024) : 63,0 millions
Capitale : Pretoria (administrative), Le Cap (législative), Bloemfontein (judiciaire)
Devise : Rand sud-africain (ZAR)
Décalage horaire avec la France : +1 h de novembre à mars. Aucun d’avril à octobre
Climat : Subtropical au centre, tropical au sud-est, méditerranéen dans la région du Cap. À Pretoria, la température moyenne la plus basse d’avril à septembre est de 3 °C
Indicateurs économiques
- Taux de croissance du PIB réel :
2023 : +0,6 %
2024 : +0,6 % (estimation)
2025 : +1,5 % (prévision FMI) - Revenu national/habitant en PPA (2022) : 6 694 USD
- Inflation moyenne (2024) : 4,4 %
- Taux de chômage :
Officiel fin 2024 : 31,9 %
Jeunes (15–24 ans) début 2025 : plus de 60 % - Déficit budgétaire 2024/2025 : Environ 6 % du PIB
- Dette publique : Environ 77 % du PIB
Conjoncture (mi-2025)
L’Afrique du Sud reste la première puissance industrielle du continent, mais son économie peine à sortir de l’ornière. La croissance reste faible (+0,6 % en 2023 et 2024), ralentie par des coupures d’électricité chroniques, des infrastructures défaillantes et une demande intérieure morose. Les prévisions pour 2025 tablent sur un léger rebond, à +1,5 %, sous réserve d’une amélioration durable dans le secteur énergétique.
La crise énergétique continue de pénaliser l’économie. L’entreprise publique Eskom, fortement endettée (plus de 450 milliards ZAR), peine à assurer un approvisionnement régulier en électricité. Le vieillissement du parc, le manque d’entretien et la mauvaise gouvernance alimentent toujours les délestages, qui freinent la production industrielle et affectent les ménages.
Le climat des affaires reste dégradé, marqué par l’instabilité réglementaire, la lenteur des réformes et la persistance d’un niveau élevé de corruption. L’investissement privé demeure insuffisant, et les entreprises publiques restent une source de fragilité budgétaire et économique.
Le pays fait également face à une situation sociale tendue, avec un chômage structurellement élevé et des inégalités persistantes. Les jeunes sont particulièrement touchés par l’exclusion du marché du travail, ce qui alimente frustrations et tensions sociales.
Sur le plan politique, les élections générales de mai 2024 ont marqué un tournant : pour la première fois depuis 1994, l’ANC a perdu sa majorité absolue et a dû former un gouvernement de coalition avec la DA et d’autres partis. Ce gouvernement d’unité nationale, inédit, reste instable. Des désaccords notables sont apparus sur des sujets sensibles comme l’équité à l’embauche et la hausse de la TVA votée dans le dernier budget.
Malgré ces défis, le pays conserve de solides atouts : un secteur financier bien régulé, des institutions démocratiques globalement résilientes, une richesse en ressources naturelles, et une base industrielle diversifiée. La poursuite des réformes dans les secteurs de l’énergie, des transports et de la gouvernance publique est essentielle pour relancer l’investissement, soutenir la croissance et restaurer la confiance.
Perspectives
Une reprise modeste pourrait s’enclencher à partir de 2025, à condition que le gouvernement d’unité parvienne à maintenir sa cohésion, que les réformes énergétiques se traduisent concrètement sur le terrain, et que le climat des affaires s’améliore. La stabilité politique sera un facteur clé dans les mois à venir.
Sources
- FMI – Perspectives économiques régionales
- Banque mondiale – Indicateurs économiques de l’Afrique du Sud
- Trésor français – Analyse macroéconomique Afrique du Sud (mars 2024)
- Statistics South Africa – Rapport démographique 2024
- Reuters – Taux de chômage au T4 2024
- AP News – Crise politique et coalition gouvernementale (mai 2025)
- AP News – Conflits autour du budget national 2025
- South African Treasury – Budget Review 2024/2025
- BusinessTech – Réformes énergétiques et avenir d’Eskom
Commerce extérieur
Population (millions, 2024)1 : 63,2
Taux de croissance du PIB réel1 : 2025 : 1,49 % (estim.) ; 2024 : 1,05 %
Revenu national/hab. en parité de pouvoir d’achat (USD, 2023)2 : 13 694
Échanges de marchandises (2023, Md USD, évolution sur 2022)3 :
Export : 110,9 (-9,76 %)
Import : 130,7 (-4,04 %)
Cinq premiers fournisseurs (avec part de marché en 2022)3 :
1 – Union européenne : 21,8 %
2 – Chine 20,1 %
3 – Inde 7,4 %
4 – États-Unis 7,3 %
5 – Arabie saoudite 4 %
Exportations françaises 20234 : 1,776 Md EUR, -3,16 %
Indice de perception de la corruption5 : 83/180
Sources : 1. FMI. 2. Banque mondiale. 3. OMC.
4. Douanes françaises. 5. Transparency international.
Risques et paiements
Mobilité
Chiffres clés
Population (2020) : 59,3 millions d’habitants, dont population urbaine : 67 %.
Langues : 11 langues officielles dont l’anglais : 9 % ; l’afrikaans : 15 % et 9 langues bantu.
Religions : chrétienne à 80 %.
Nombre de Français immatriculés (2020) : 7 309.
Nombre d’entreprises françaises implantées : 326.
Émissions CO2 (tonnes/hab., 2019) : 8,5 t.
Indicateur global de sécurité (GPI, 163 pays, 2021) : 123e, niveau « bas ».
Sources : MEAE, Banque mondiale, Commission européenne (base de données EDGAR), FMI, Institute for Economics & Peace pour le GPI et Le Moci.
S’y rendre
Formalités
Tous les voyageurs arrivant en Afrique du Sud doivent respecter les conditions suivantes : présenter un test Covid-19 négatif effectué moins de 72 heures avant le départ ; se soumettre à une prise de température à leur arrivée sur le territoire sud-africain.
Les voyageurs ne peuvent emprunter que 20 postes frontières terrestres et l’un des 5 aéroports suivants : aéroport OR Tambo de Johannesburg, aéroport international de Lanseria, aéroport international du Cap, aéroport international King Shaka de Durban et aéroport international du Kruger Mpumalanga.
Les ambassades et consulats sud-africains dans le monde acceptent de nouveau certaines demandes de visas.
Pour rappel, les voyageurs français bénéficient d’une exemption de visa pour les séjours touristiques d’une durée inférieure à 90 jours. Pour effectuer un séjour de plus de 90 jours ou si le motif du séjour est un stage, des études, un événement sportif, etc., il faut déposer une demande de visa au moins deux mois avant le départ, auprès de l’ambassade d’Afrique du Sud à Paris. Pour l’obtention d’un permis de résidence ou de travail, la demande est à formuler à l’ambassade d’Afrique du Sud à Paris avant le départ.
Y travailler
Le marché du travail
Avec un tiers de sa population au chômage, le premier pays africain par son économie est aussi celui qui a été le plus durement touché par la crise du Covid en Afrique. La situation sanitaire demeure difficile. à fin juillet 2021, 10 % de la population avait reçu une dose de vaccin.
Pourtant déjà très élevé en janvier 2020 (30,1 %), le taux de chômage sud-africain atteint aujourd’hui des records (33 %). Le manque d’emploi est tel que de nombreuses manifestations ont eu lieu depuis quelques mois sur le territoire pour protester contre la hausse du chômage, suite à l’appel des syndicats. Certaines de ces manifestations ont pris une tournure violente, plusieurs personnes sont décédées, et les forces de l’ordre ont même tiré à balles réelles pour « effrayer les manifestants ».
Depuis 1994, les autorités sud-africaines ont mis en œuvre une politique « affirmative action » visant à promouvoir une meilleure représentation de la majorité noire dans les différents secteurs du pays (administration, services publics et parapublics, sociétés nationalisées et privées). Cette politique est appliquée à travers le programme Black Economic Empowerment (BEE), transformé en 2003 en Broad-Based Black Economic Empowerment (B-BBEE).
Si l’on ne dispose pas de qualifications « pointues », les possibilités de trouver individuellement un emploi sont très limitées en raison de la politique de protection du marché de l’emploi local et de l’« affirmative action ». Ainsi, les entreprises souhaitant employer un ressortissant étranger doivent apporter la preuve qu’elles n’ont pu trouver de candidat sud-africain.
La politique d’octroi des « work permit » à des étrangers bénéficiera plutôt à des professions à forte valeur ajoutée ou aux entrepreneurs/investisseurs dont l’installation en Afrique du Sud sera synonyme de création d’emploi.
Une bonne connaissance de l’anglais (parlé et écrit) est indispensable plus, dans l’idéal, celle d’une autre langue locale comme l’afrikaans, le zoulou ou le xhosa.
Secteurs à fort potentiel : technologies de l’information, informatique, ingénierie, restauration et tourisme.
Source : www.eco-reseau.fr.
Le cadre légal du travail
Pour travailler en tant qu’étranger en Afrique du Sud, il existe 3 types d’autorisation de travail : Visa de travail intragroupe. Cela s’applique aux demandeurs qui sont employés par une société étrangère « liée » à la société sud-africaine (par exemple, une société mère en France transférant une personne vers sa filiale sud-africaine) et transféré en Afrique du Sud pendant une période inférieure à quatre ans (après quoi la personne concernée doit rentrer dans le pays d’origine). Pour être éligible, il est nécessaire que le candidat ait été employé par la société apparentée non sud-africaine pendant au moins 6 mois. Cette procédure ne s’applique qu’aux mobilités entre entités d’un même groupe.
– Visa de travail général. Si une personne n’a pas une compétence critique mais souhaite travailler en Afrique du Sud, elle a besoin d’un visa de travail général. Il est à noter qu’un employé potentiel a besoin d’une offre d’emploi avant de pouvoir demander un visa de tra-vail général. L’offre de l’employeur doit d’abord être examinée par le département du Travail, qui est tenu de remettre au ministère de l’Intérieur un rapport déterminant si l’employeur a suffisamment tenté de trouver un résident permanent ou un citoyen sud-africain ayant les mêmes qualifications ou expériences pour le poste. Le poste en question doit être publié dans un journal local, au minimum pendant un mois. La demande de visa de travail de ce type prend énormément de temps et est rarement efficace.
– Visa de travail pour compétences critiques. Ce visa de travail est réservé aux candidats possédant des compétences qui correspondent à une liste spécifique de catégories publiée dans la Gazette du gouvernement de l’Afrique du Sud en juin 2014. Une personne qui prouve qu’elle a une expertise ou compétence figurant dans la liste des professions (qualifiée de « compétence critique » et remplit les conditions requises pour obtenir un visa de travail pour compétences essentielles) n’a pas besoin d’avoir un emploi effectif dans le pays pour demander ce visa. Dans un tel cas, le visa serait valide pour 12 mois (ce qui signifie que le demandeur devrait trouver un emploi dans les 12 mois). Si il/elle a un emploi, le visa est délivré pour 5 ans. Ce processus était autrefois plus simple que celui du visa de travail général, mais les administrations sud-africaines locales ont récemment renforcé le processus, provoquant des retards et rendant la demande de ce visa longue également…
Source : Mobility HR.
– Salaire minimum légal : l’Afrique du Sud n’a pas de salaire minimum national. Le salaire moyen brut n’a qu’une signification relative. Les salaires sont très variables en fonction des emplois, des secteurs et des qualifications requises. En raison de la fiscalité locale, les employeurs préfèrent limiter le montant des salaires et verser aux employés des primes non imposables (prime de transport, prime de logement, prise en charge de la scolarité des enfants, prise en charge de l’assurance-maladie, etc.).
– Durée de travail : 45 heures par semaine ou 9 heures par jour. 8 heures par jour pour les employés qui travaillent 6 jours par semaine.
– Durée de la période d’essai/du préavis : un mois civil. Jusqu’à 3 mois pour les postes de cadre/stratégiques.
– Rémunération, avantages et impôts : la plupart des employeurs proposent un package (comprenant des avantages comme un fonds de prévoyance, une assistance médicale et une allocation de déplacement) plus une prime de résultats.
– Jours chômés hebdomadaires : samedi après-midi et dimanche.
Horaires de travail
Administration : 8 h – 17 h.
Entreprises : 8 h 30 – 17 h.
Banques : 9 h – 15 h 30 en semaine. 8 h 30 – 11 h le samedi matin.
Commerces : 9 h – 18 h en semaine (les supermarchés dans les centres commerciaux ferment plus tard 19 h 30 ou 20 h). 17 h ou 18 h les samedis et dimanches.
Sources : MEAE, Business France et Expat.com.
Meilleurs sites d’emploi
www.michaelpageafrica.com/fr/jobs/afrique-du-sud,
www.careers24.com,
www.bestjobs.co.za,
www.careerjunction.co.za.
Vie pratique
Coût de la vie
Monnaie : rand (ZAR).
Taux de change : 1 EUR = 17,18 ZAR (9-08-2021).
Indice Big Mac : 2,28 USD.
Se loger : le loyer mensuel dans un quartier résidentiel de Johannesburg est de 400 euros pour un studio et de 800 euros pour un trois pièces. Il existe un important marché locatif, mais relativement étroit pour les logements de classe moyenne. Dans la recherche d’un logement, il est conseillé d’être très attentif aux questions de sécurité (localisation du logement, protections anti-intrusions, accès sécurisés, etc.) et de bien valider au préalable le bon fonctionnement des équipements.
Indice Mercer du coût de la vie (logement compris, 209 villes) : Cape Town (179e) et Johannesburg (184e).
Sources : MEAE, Mercer, Numbeo.com, The Economist et XE currency converter.
Informations utiles
Nature du réseau électrique
Décalage horaire avec la France : + 1 h de novembre à mars. Aucun d’avril à octobre.
Climat
Subtropical au centre, tropical au sud-est, méditerranéen dans la région du Cap.
À Pretoria
Température moyenne la plus basse d’avril à septembre : 3 °C.
Distances de ville à ville
Pretoria – Cape Town : 1 457 km.
Déplacements de ville à ville
L’avion reste le moyen idéal pour traverser le pays. L’Afrique du Sud dispose d’infrastructures portuaires et aéroportuaires internationales de bonne qualité (aéroports de Johannesburg, de Durban ou du Cap). Les compagnies aériennes sud-africaines (natio-nales et low-cost) opèrent conformément aux standards internationaux de sécurité.
– Infrastructures routières : si les grands axes (autoroutes, routes nationales, réseaux urbains) sont en très bon état, l’entretien des routes secondaires est moins bon. Il est préférable d’éviter les trajets de nuit, en raison du faible éclairage et des travaux ou déviations mal signalés.
– Transport ferroviaire : le réseau ferroviaire est peu usité sur les trajets interurbains. Le
« Gautrain », ligne de train à grande vitesse reliant Johannesburg à l’aéroport OR Tambo International et à Pretoria, peut être emprunté en toute sécurité. Il est en revanche déconseillé d’emprunter l’ancienne ligne de chemin de fer entre Johannesburg et Pretoria, « Metro », où sévissent de nombreux délinquants
Source : MEAE.
Nature du réseau électrique
220 volts.
Télécommunications
Indicatif téléphonique : +27 (011 pour Johannesbourg ; 012 pour Pretoria ; 021 pour Cape Town).
Qualité du réseau mobile : excellente.
La connexion 3G ou 4G est très largement disponible en Afrique du Sud (hôtels, aéroports), dès lors que le voyageur est muni d’une clé 3G/4G locale ou d’un smartphone avec une carte SIM locale.
Qualité du réseau Internet : excellente.
Principaux jours fériés 2021
24 septembre : journée du patrimoine.
16 décembre : jour de la réconciliation.
25 décembre : Noël.
26 décembre : lendemain de Noël (Day of Goodwill).
Santé
Aucune vaccination n’est obligatoire mais certaines vaccinations sont recommandées. Assurez-vous d’être à jour dans vos vaccinations habituelles mais aussi liées à toutes les zones géographiques visitées. La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) est recommandée en incluant rubéole-oreillons-rougeole (ROR) chez l’enfant ; la vaccination antituberculeuse est également souhaitable.
En fonction des conditions locales de voyage, les vaccinations contre la fièvre typhoïde, la méningite et les hépatites virales A et B peuvent être recommandées.
Source : Conseils aux voyageurs / Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères – www.diplomatie.gouv.fr
Consultez l’intégralité des recommandations et des conseils à destination des voyageurs qui se rendent en Afrique du Sud, actualisés par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères sur ce lien.
Contacts
Sources d’informations Internet
www.gov.za : site du gouvernement.
https://mg.co.za : site d’information.
www.brandsouthafrica.com : site d’info.
www.lepetitjournal.com/johannesbourg : site d’information en français.
www.jobourg-accueil.org : pour expatriés.
Contacts utiles
En France
Ambassade d’Afrique du Sud
www.afriquesud.net
[email protected]
Sur place
Ambassade de France
https://za.ambafrance.org
[email protected]
Service économique régional de Pretoria
www.tresor.economie.gouv.fr/se/afriquedusud
[email protected]
Bureau Business France en Afrique du Sud
http://export.businessfrance.fr/afrique-du-sud/export-afrique-du-sud-avec-notre-bureau.html
[email protected]
Chambre de commerce et d’industrie franco-sud-africaine
www.fsacci.co.za
Logistique & Douane
La Banque mondiale a annoncé en septembre 2021 l’arrêt de la publication Doing Business. Nous rappelons ici les dernières évaluations disponibles. Dans le classement « Doing Business 2020 », l’Afrique du Sud était classée au 145e rang mondial (-2 places par rapport à 2019) pour la performance du commerce transfrontalier. Sont mesurés dans cette rubrique les délais et les coûts (hors droits de douane) associés à trois catégories de procédures : respect des exigences en matière de documentation, respect des procédures de commerce transfrontalier et transport intérieur. Les délais sont fournis en nombre d’heures et les coûts en dollars US. Le transport intérieur n’est toutefois pas intégré dans la note finale.
• À l’export : respect des procédures de commerce transfrontalier (durée 92 h. ; coût 1 257 USD) ; respect des exigences en matière de documentation (68 h. ; 55 USD).
• À l’import : respect des procédures de commerce transfrontalier (durée 87 h. ; coût 676 USD) ; respect des exigences en matière de documentation (36 h. ; 73 USD).
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