Le premier vice-président iranien, Mohammad Reza Rahimi, cité le 9 octobre par l’agence Isna, a déclaré pouvoir conduire le constructeur français à la banqueroute si son pays cessait d’importer ses pièces détachées. « Si nous fronçons les sourcils, une partie de l’industrie automobile française va s’effondrer », a-t-il menacé. L’Iran, premier producteur automobile du Moyen-Orient, produit actuellement des Peugeot 405 et 206. Une partie des pièces de ces voitures est importée.