Laurent Van Soen, directeur-général d’Erai : « Non, il n’y a pas de problème de gestion d’Erai ».
Déclaration sur l’antenne d’une radio lyonnaise, cité dans la LC aujourd’hui dans l’article : Spécial rhône-Alpes : la direction d’Erai évoque trois repreneurs potentiels.
Déclaration sur l’antenne d’une radio lyonnaise, cité dans la LC aujourd’hui dans l’article : Spécial rhône-Alpes : la direction d’Erai évoque trois repreneurs potentiels.
Pierre Moscovici, commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires : «Comme ministre français de l’Économie, j’avais acquis la certitude qu’un plan massif était nécessaire pour sortir l’Europe de la crise. L’investissement est indissociable de la relance du projet européen. Et le plan Juncker est ambitieux, crédible, réaliste, salué par l’ensemble du Parlement ». Selon lui, le plan est d’autant plus important que « le montant global des investissements en Europe a baissé de 15 % par rapport à 2007, ce qui représente un manque à gagner de 430 milliards d’euros, et qu’il faut absolument combler ce gap si nous ne voulons pas devenir des partenaires secondaires dans le monde ».
Propos tenus lors du colloque « Union européenne : enjeux et priorités de la nouvelle Commission européenne », organisé, le 23 mars à Bercy, par le Comité national des conseillers du commerce extérieur de la France (CNCCEF). Lire aussi sur notre site en accès libre : Plan d’investissement Juncker : Pierre Moscovici veut plus d’informations des États auprès des PME
Pervenche Berès, présidente de la délégation socialiste au Parlement européen : » « Je sais qu’avant moi Pierre Moscovici, le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, a plaidé pour un vote rapide du Parlement européen pour le plan d’investissement Juncker. Je dois dire que les parlementaires ont des conditions. En matière de gouvernance par exemple, qu’est-ce qui nous assure que la logique du juste retour ne dominera pas ou que la diversité des territoires sera prise en compte ? S’agissant de la Banque européenne d’investissement, quand la France a perdu son triple A, çà n’a rien changé car les investisseurs de long terme ont besoins d’acteurs solides, et nous pensons que la BEI pourrait alors prendre plus de risque tout en restant crédible. Enfin, s’agissant du retour socio-économique, comment vont évoluer les projets sur le plan financier, en matière d’emploi, de transition énergétique et écologiquement ? Ce n’est pas dit ».
Propos tenus lors du colloque « Union européenne : enjeux et priorités de la nouvelle Commission européenne« , organisé, le 23 mars à Bercy, par le Comité national des conseillers du commerce extérieur de la France (CNCCEF). Lire aussi sur notre site en accès libre : Plan d’investissement Juncker : Pierre Moscovici veut plus d’informations des États auprès des PME
Megan Richards, conseillère principale à la Commission européenne : » Internet n’appartient pas aux États-Unis. C’est un réseau de réseaux et seule une petite partie est gérée par les États-Unis. Avec les réseaux de réseaux, la gouvernance d’Internet est très compliquée et il y a des communautés qui sont créées dans lesquelles les Européens sont très actifs « .
Propos tenus lors du colloque « Union européenne : enjeux et priorités de la nouvelle Commission européenne », organisé, le 23 mars à Bercy, par le Comité national des conseillers du commerce extérieur de la France (CNCCEF). Megan Richards, qui officie à la Direction générales des réseaux de communication, contenus et technologies, estime également que » l’extension d’Internet » montre qu’il » ne s’agit plus seulement d’un univers anglophone » et qu’avec l’émergence des pays émergents, notamment en Afrique, » le français doit pouvoir y trouver sa place « . Lire aussi sur notre site en accès libre : Plan d’investissement Juncker : Pierre Moscovici veut plus d’informations des États auprès des PME.
Philippe Gœbel, président de l’Union des industries chimiques (UIC) : « Nous sommes une industrie exportatrice par nature, il est clair que la baisse de l’euro a des effets favorables. […] La baisse de l’euro rend nos produits plus compétitifs sur les marchés libellés en dollars et va nous permettre d’améliorer encore nos échanges extérieurs ».
Déclaration faite le 24 mars lors de la conférence de presse annuelle de l’UIC, qui présentait les résultats 2014 de l’industrie chimique en France.
Déclaration faite le 24 mars lors de la conférence de presse annuelle de l’UIC, qui présentait les résultats 2014 de l’industrie chimique en France.