« J’ai du mal à croire que l’on puisse sauver le soldat Erai : il faudrait quelqu’un qui sorte son carnet de chèque et mettre 10 à 15 millions d’euros… ». Après le séisme provoqué par le refus, le 6 mars, de la Commission permanente du Conseil régional de voter tout nouveau financement à l’association Entreprises Rhône-Alpes International (Erai), ce bon connaisseur du dossier ne cache pas son scepticisme sur les chances de réussite d’un éventuel « plan B » à court terme qui puisse éviter à l’agence, financièrement exsangue, un processus de liquidation. Peut-être en saura-t-on plus le 23 mars…
Ceci est un extrait de l’Alerte confidentielle diffusée aujourd’hui auprès de nos abonnés
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