« Il y a une quantité astronomique d’acteurs et de types d’aides. C’est assez confus, d’autant que les prestations et le coût sont variables… », regrette Manuel Dubois, le directeur administratif et financier de l’entreprise.
Qui a pourtant recours en permanence à deux volontaires internationaux en entreprise (V.I.E), en partie subventionnés par le Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais. Ce n’est que pour l’ouverture de sa filiale en Grande-Bretagne, en 2009, que Doublet a sollicité un contrat d’assurance-prospection commerciale auprès de Coface, qui permet de récupérer un peu de trésorerie (et une indemnisation en cas d’échec).
Doublet connaissait déjà le dispositif à l’époque de l’ouverture de sa filiale allemande. Mais, en 2007, le coût de l’implantation outre-Rhin était bien moindre qu’outre-Manche. Pour son projet d’acquisition au Brésil, Doublet envisage de solliciter les aides de Coface et d’Oséo, permettant de financer des rachats d’entreprise.
Auparavant, Ubifrance et la CCI internationale seront mis à contribution pour aider à la prospection d’une entreprise cible. Par ailleurs, Doublet bénéficie des aides d’Oséo pour la R&D.