Jean-Marc Pillu, directeur général de Coface SA : « Au cours des trois dernières années, le groupe Coface s’est repositionné sur son coeur de métier, l’assurance-crédit, et a réinventé son modèle de développement. Sur un marché à fort potentiel, (il) dispose aujourd’hui d’une plateforme reconnue dans l’analyse et la gestion des risques d’impayés (…) Solide opérationnellement et financièrement, notre groupe se prépare avec confiance et enthousiasme à ce projet d’introduction en bourse qui nous permettra de diversifier notre actionnariat. »
Déclaration dans un communiqué maison annonçant, le 7 mai, l’enregistrement de son document de base par l’Autorité des marchés financiers la veille.
François Hollande, président de la République : « À l’instant, j’évoquais le partenariat d’exception noué entre la Japon et la France déjà depuis de nombreuses années. Il est fondé sur trois priorités aujourd’hui : l’économie, la culture et la sécurité. Nous en ajoutons une avec la manifestation de ce matin, c’est la gastronomie. Parce que nous célébrons l’inscription des traditions culinaires japonaises au patrimoine mondial de l’UNESCO. De la même manière, nous avions en 2010, eu cet immense honneur de recevoir, pour le repas gastronomique français, cette inscription au patrimoine immatériel de l’humanité. Pour le bonheur de l’humanité, nous avons donc des cuisiniers excellents qui nous permettent aujourd’hui d’avoir cette consécration. »
Extrait d’un court discours prononcé en préambule d’un déjeuner avec le Premier ministre japonais Shinzo Abe, à la Maison du Japon, visant à saluer l’inscription de la gastronomie japonaise au patrimoine de l’Unesco.
Laurent Fabius, MAEDI : « Le drame de Rana Plaza au Bangladesh auquel vous avez fait allusion a provoqué, vous l’avez rappelé, la mort de 1138 personnes il y a maintenant un an. C’est un drame humain effroyable et, comme vous l’avez fort bien dit, qui ne peut pas rester sans suite. La sous-traitance et l’extrême complexité des chaînes de production et de valeur ne peuvent pas justifier une irresponsabilité de certaines entreprises. Il faut donc que leur responsabilité sociale et environnementale puisse être mise en cause. »
Extrait de son intervention à l’Assemblée nationale, le 6 mai, à une question des députés sur le respect des normes sociales internationales, au cours de laquelle il s’est dit prêt à travailler avec l’Assemblée pour renforcer la législation dans ce domaine.