Jocelyn Guitton, Premier secrétaire à la délégation de l’UE en Ukraine : » D’après des calculs réalisés il y a quelques années, le produit intérieur brut (PIB) de l’Ukraine devait augmenter de 10 à 12 % rien qu’avec la suppression des droits de douane dans le cadre de l’accord d’association avec l’Union européenne. Ce qui est peu, si l’on considère que rien que cette année son PIB va reculer de 15 %. En fait, l’accord doit être considéré comme une boîte à outils qui sera efficace si le système judiciaire devient fiable, si le climat des affaires est amélioré. Et, dans ce cas alors, les entreprises étrangères pourront être intéressées à venir investir sur place et à y externaliser leur production « . Propos tenus à l’occasion d’un petit déjeuner débat du Club de Kiev, à Paris le 2 octobre, sur l’accord de libre-échange UE-Ukraine devant entrer en vigueur le 1er janvier prochain. A ce propos, lire l’article en accès gratuit sur notre site : Accord d’association UE-Ukraine : ce qu’il faut savoir du contenu, des enjeux et des difficultés pour exporter et investir
Matthias Fekl, SE au Commerce extérieur, à la promotion du tourisme et aux Français de l’étranger : « Franchement, dans la situation que traverse notre pays, tous ceux qui se mettent en travers des efforts de simplification et des efforts pour jouer collectif n’ont pas le sens des responsabilités. Il ne faut pas non plus être trop sévère : il y a beaucoup d’endroits où ça marche. »
Extrait d’une interview exclusive accordée au Moci, le 1er octobre à Nantes, en marge de sa visite à l’International Connecting Day à l’invitation du président de CCI International Jean-François Gendron (ci-dessous). Lire l’interview en cliquant sur : Matthias Fekl : « tous ceux qui se mettent en travers des efforts de simplification et pour jouer collectif n’ont pas le sens des responsabilités » . Lire également dans la LC aujourd’hui : Aides à l’export/Pays de la Loire : ce que dit la convention de partenariat signée entre la CCIR et Business France
Jean-François Gendron, président de CCI International : « Nous croyons à l’efficacité de l’accompagnement des entreprises à l’export. Une entreprise accompagnée sur deux est encore à l’international au bout de cinq ans alors que la proportion est de une sur cinq pour les entreprises non accompagnées ».
Une conviction plusieurs fois rappelée, le 1er octobre, lors de l’International Connecting Day, par celui qui est également président de la CCI de Nantes Saint-Nazaire et vice-président de la CCI de Région Pays de la Loire. Lire également, en accès gratuit sur notre site : Pays de la Loire/Commerce extérieur : la région mobilisée pour intensifier l’internationalisation de ses PME et, dans la LC aujourd’hui : Aides à l’export/Pays de la Loire : ce que dit la convention de partenariat signée entre la CCIR et Business France
Alamine Ousmane Mey, président du Comité ministériel de l’Umac : » Le rôle de la diaspora est reconnu, mais celle-ci doit mieux être organisée. Quant à la parité euro-franc CFA, c’est pour l’Afrique un facteur de stabilité du commerce, notamment avec les pays de la zone euro. Cette stabilité a aussi permis de financer les importations, qui ont servi à l’outil de production et donc aux investissements. Maintenant, il faut réguler le futur en fonction de la volatilité des marchés « . Propos tenus par le ministre camerounais des Finances, actuel président du Comité interministériel de l’Union monétaire d’Afrique centrale (Umac), répondant aux questions des journalistes, lors de la conférence de presse, organisée à Bercy le 2 octobre, après la réunion des ministres des Finances de la zone franc. Lire à ce sujet l’article en accès gratuit sur notre site : Afrique : la zone franc se penche sur les grands enjeux, comme le climat, la sécurité, le terrorisme